jueves, febrero 23, 2006

Problemas de memoria II

Tratando de informarme sobre el tema de la memoria selectiva me di cuenta de que no soy la única ni la primera en reflexionar sobre el tema. También, se comprobó mi teoría de que aun me falta mucho por leer. Ahora, siento unas ganas que me cuesta contener de leer a Freud y a Borges pues, al parecer, han tratado el tema varias veces. También se me llena el alma con arrepentimiento de no haber terminado el curso de filosofía pues cuando converso de mis supuestos descubrimientos me dicen “Claro eso es lo que aprendimos en Filosofía”. Ah, bueno, yo no. Entonces, ellos aprenden y yo descubro.

Ahora, leyendo un texto de Freud que trata del olvido de nombres propios, me doy cuenta que es cierto lo que dice. Queriendo olvidar una cosa “x” que se encuentra en mi consiente, inconscientemente borro una cosa “y”: queriendo olvidar un sentimiento, un hecho que quise que pasara pero que no pasó, me encuentro olvidando sentimientos sentidos durante algo que realmente pasó y que se encuentran, de cierta manera, asociados a aquellos que quiero olvidar. Luego me preguntaran que es lo que siento sobre aquel hecho, yo asociándolo inconscientemente a aquel que quiero olvidar, no recordaré.

Siento que este tema me tendrá bastante tiempo en búsqueda de respuestas. Dándome cuenta que tal vez no se pueda llegar al olvido tan fácilmente, tendré que encontrar otra manera de alcanzarlo. Utilizando el método explicado por Freud, buscando temas asociados al que se quiere olvidar y olvidándolos a ellos. Pero es aquí donde se presenta un gran problema: quizás logrando olvidar aquello que se asocia a aquel tema “x”, solo llegue a recordarlo aun más. De esta manera no llegaría jamás a olvidar lo deseado y es ahí donde quizás me dé cuenta que de verdad es algo demasiado fuerte para conseguir el olvido…

De hecho, no debería hablar como si pudiese pasar en el futuro pues, mientras escribo esto, solo logro recordar aquello que quiero olvidar. Y es aquí, en este preciso pedazo de presente, que entiendo que es fuerte, importante y quizás inevitable que piense, sueñe y me pelee con este maldito recuerdo que ni siquiera es lo que parece ser. No, recuerdo no es; son ganas. Ganas de querer, ganas de ganar, ganas de tener a alguien a quien me es imposible tener. Un misterio, una canción, un saber que ha tomado forma de hombre…

Así es que seguiré tratando de entender esto que llamamos memoria u olvido, como quieran, no recuerdo.

En essayant m'informer sur le sujet de la mémoire sélective, je me suis rendue compte que je ne suis ni la seule ni la première à réfléchir à ce sujet. Aussi, ma théorie qui dit qu'il me reste encore beaucoup de choses à lire s'est confirmée. Maintenant, je sens une envie que j'ai de la misère à contenir de lire Freud et Borges car, à ce qu'il parait, ils ont souvent traité le sujet. Aussi, mon âme se remplit de regret de ne pas avoir terminé le cours de philosphie puisque quand je fais part de mes suposées découvertes, on me dit "Effectivement, c'est ce qu'on apprend en Philo." Ah, bon, pas moi. Alors, eux, ils apprennent et moi, je découvre.

Maintenant, en lisant un texte de Freud qui traite sur l'oubli des noms propres, je me rends compte que c'est bien vrai ce qu'il dit. En voulant oublier une chose "x" qui se trouve dans mon conscient, inconsciement j'efface une chose "y": en voulant oublier un sentiment, un fait que j'ai voulu qui arrive mais qui n'est pas arrivé, je me trouve à oublier des sentiments ressentis pendant un evenement qui a réellement eu lieu et qui se trouvent, d'une certaine façon, asociés à ceux que je veux oublier. Plus tard, on me demandera ce que je ressens par rapport à cet évenement, moi, en l'associant inconciement à celui que je veux oublier, je ne m'en souviendrai plus.

Je sens que ce sujet me gardera longtemps à la recherche de réponses. En me rendant compte que peut-être je ne puisse pas arriver à l'oubli si facilement, je devrai trouver une autre façon de l'attenidre. En utilisant la méthode expliquée par Freud, en cherchant des sujets associés à celui qu'on veut oublier y en les oubliant eux. Mais c'est là que se pose un grand problème: peut-être en reussissant à oublier ce qui est associé au sujet "x", je n'arrive qu'à me souvenir de ce dernier encore plus. De cette façon, je n'arriverais jamais à oublier ce que je veux et ce serait là où je me rendrai peut-être compte qu'en réalité c'est quelque chose de trop fort pour atteindre l'oubli...

En fait, je ne devrais pas parler comme s'il s'agissait d'une eventuelle possibilité car, pendant que j'écris ceci, je n'arrive qu'à me souvenir encore plus de ce que je veux oublier. Et c'est ici, dans ce précis morceau de présent, que je comprends qu'il est fort, important et peut-être même inévitable que je pense, rêve e me batte avec ce maudit souvenir qui n'est même pas ce qu'il semble être. No, ce n'est pas un souvenir; c'est une envie. Envie d'aimer, envie de gagner, envie d'avoir quelqu'un dont il m'est impossible avoir. Un mystère, une chanson, un savoir qui a pris la forme d'un homme...

C'est ainsi que je continuerai à essayer de comprendre ce qu'on appelle mémoire ou oubli, comme vous voudrez, je ne me souviens plus.

1 comentarios:

vitorio_parranda dijo...

y porque quieres olvidar? eso es lo que no entiendo...

viste que te gusta la seguridad?

...sigue investigando, pero como te vas a olvidar de que lo investigaste? y que lo investigaste por algo? esta wea de querer hacer algo que parece imposible, casi siempre resulta ser una maldita paradoja... una wea circular... a veces eso es peor... asi que cuidado...


mmm...


eso

un beso