domingo, febrero 26, 2006

Panico

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Leyendo, como siempre, estoy sentada frente al computador. Tomo un cigarro, le corto el filtro y no sé por que se me ocurre mirar los libros que están nuevamente ordenados en la mini-biblioteca de mi escritorio. Ahi, entre el Larousse en francés y el Santillana en español, se encuentra la bestia. Me quedo inmovil, recordando que mi hermano anda de parranda y no me podrá salvar esta vez. Odio que no esté justo cuando lo necesito. Ahora, camina, pasa por la enciclopedia de la fotografia digital y llega hasta Diarios de motocicleta. Decido ser valiente aunque sea solo esta vez: me doy vuelta para tomar un pedazo de papel y algo duro para aplastar a esta maldita, pues ni cagando la siento aplastada en mis dedos. Inspiración. Me preparo mentalmente para cometer el asesinato... y la hija de puta desaparece!

La siento por todos lados: en la cabeza, en la espalda, cuando respiro y hago vibrar un rulo, siento a la maldita araña en el cuello o en el pecho, en los dedos, en las piernas cuando se mueve mi pantalón. La quiero muerta pero no tocaré esos libros. Sé que se metió entre El Alquimista y Diarios de motocicleta porque ahi hay un hoyito mas o menos grande para dejarla pasar. Igual la siento detras de la oreja, en la guata, en el tobillo...

Mejor me voy a acostar. Sé que en mi cama no estará. El cigarro? Ah verdad! Casi se me olvida. Chucha! Ahora la senti en los labios! Maldita!

Siendo optimista como soy sé que por lo menos me ha venido a anunciar el fin del invierno. Marzo. Primavera. Fin de clases en mayo... Verano. Un ultimo tiritón y buenas noches.

Je lis, comme d'habitude, assise devant l'ordinateur. Je prends une cigarrette, je lui coupe un bout de filtre et je ne sais pas pourquoi je decide regarder les livres qui sont nouvellement ordonés dans la mini-biblothèque de mon bureau. Là, entre le Larousse en français et le Santillana en espagnol, se trouve la bête. Je reste imobile, en me rappellant que mon frère fait la fête et qu'il ne pourra pas me sauver cette fois-ci. Je déteste qu'il ne soit pas là quand j'ai besoin de lui. Maintenant, elle marche, elle passe par l'encyclopédie de la photographie numérique et arrive à Carnet de voyages (Diarios de motocicleta). Je décide être courageuse au moins cette fois-ci: je me retourne pour prendre un mouchoir et quelque chose de dur pour l'écraser, car jamais de la vie que je la sentirai écrasée sous mes doigts. J'inspire. Je me prépare mentalement à commetre le meurtre... et la salope disparait!

Je la sens partout: sur la tête, dans le dos, quand je respire et fais vibrer une meche de cheveux, je sens la maudite araignée dans le cou ou la poitrine, sur les doigts, sur les jambes quand mon patalon bouge. Je la veux morte mais je ne toucherai pas ces livres. Je sais qu'elle est passée entre L'alchimiste (El Alquimista) et Carnet de voyage car il y a là un petit trou plus ou moins grand pour l'avoir laissé passer. Je la sens pareil, derrière l'oreille, sur le ventre, le talon...

C'est mieux si je vais me coucher. Je sais qu'elle ne sera pas dans mon lit. Et la cigarrette? Ah c'est vrai! J'ai failli oublier. Putain! Là je l'ai sentie sur les lèvres! Maudite!

Optimiste comme je suis, je sais qu'au moins elle est venue m'anoncer la fin de l'hiver. Mars. Printemps. Fin de classes en mai... Été. Un dernier frisson et bonne nuit.

jueves, febrero 23, 2006

Problemas de memoria II

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Tratando de informarme sobre el tema de la memoria selectiva me di cuenta de que no soy la única ni la primera en reflexionar sobre el tema. También, se comprobó mi teoría de que aun me falta mucho por leer. Ahora, siento unas ganas que me cuesta contener de leer a Freud y a Borges pues, al parecer, han tratado el tema varias veces. También se me llena el alma con arrepentimiento de no haber terminado el curso de filosofía pues cuando converso de mis supuestos descubrimientos me dicen “Claro eso es lo que aprendimos en Filosofía”. Ah, bueno, yo no. Entonces, ellos aprenden y yo descubro.

Ahora, leyendo un texto de Freud que trata del olvido de nombres propios, me doy cuenta que es cierto lo que dice. Queriendo olvidar una cosa “x” que se encuentra en mi consiente, inconscientemente borro una cosa “y”: queriendo olvidar un sentimiento, un hecho que quise que pasara pero que no pasó, me encuentro olvidando sentimientos sentidos durante algo que realmente pasó y que se encuentran, de cierta manera, asociados a aquellos que quiero olvidar. Luego me preguntaran que es lo que siento sobre aquel hecho, yo asociándolo inconscientemente a aquel que quiero olvidar, no recordaré.

Siento que este tema me tendrá bastante tiempo en búsqueda de respuestas. Dándome cuenta que tal vez no se pueda llegar al olvido tan fácilmente, tendré que encontrar otra manera de alcanzarlo. Utilizando el método explicado por Freud, buscando temas asociados al que se quiere olvidar y olvidándolos a ellos. Pero es aquí donde se presenta un gran problema: quizás logrando olvidar aquello que se asocia a aquel tema “x”, solo llegue a recordarlo aun más. De esta manera no llegaría jamás a olvidar lo deseado y es ahí donde quizás me dé cuenta que de verdad es algo demasiado fuerte para conseguir el olvido…

De hecho, no debería hablar como si pudiese pasar en el futuro pues, mientras escribo esto, solo logro recordar aquello que quiero olvidar. Y es aquí, en este preciso pedazo de presente, que entiendo que es fuerte, importante y quizás inevitable que piense, sueñe y me pelee con este maldito recuerdo que ni siquiera es lo que parece ser. No, recuerdo no es; son ganas. Ganas de querer, ganas de ganar, ganas de tener a alguien a quien me es imposible tener. Un misterio, una canción, un saber que ha tomado forma de hombre…

Así es que seguiré tratando de entender esto que llamamos memoria u olvido, como quieran, no recuerdo.

En essayant m'informer sur le sujet de la mémoire sélective, je me suis rendue compte que je ne suis ni la seule ni la première à réfléchir à ce sujet. Aussi, ma théorie qui dit qu'il me reste encore beaucoup de choses à lire s'est confirmée. Maintenant, je sens une envie que j'ai de la misère à contenir de lire Freud et Borges car, à ce qu'il parait, ils ont souvent traité le sujet. Aussi, mon âme se remplit de regret de ne pas avoir terminé le cours de philosphie puisque quand je fais part de mes suposées découvertes, on me dit "Effectivement, c'est ce qu'on apprend en Philo." Ah, bon, pas moi. Alors, eux, ils apprennent et moi, je découvre.

Maintenant, en lisant un texte de Freud qui traite sur l'oubli des noms propres, je me rends compte que c'est bien vrai ce qu'il dit. En voulant oublier une chose "x" qui se trouve dans mon conscient, inconsciement j'efface une chose "y": en voulant oublier un sentiment, un fait que j'ai voulu qui arrive mais qui n'est pas arrivé, je me trouve à oublier des sentiments ressentis pendant un evenement qui a réellement eu lieu et qui se trouvent, d'une certaine façon, asociés à ceux que je veux oublier. Plus tard, on me demandera ce que je ressens par rapport à cet évenement, moi, en l'associant inconciement à celui que je veux oublier, je ne m'en souviendrai plus.

Je sens que ce sujet me gardera longtemps à la recherche de réponses. En me rendant compte que peut-être je ne puisse pas arriver à l'oubli si facilement, je devrai trouver une autre façon de l'attenidre. En utilisant la méthode expliquée par Freud, en cherchant des sujets associés à celui qu'on veut oublier y en les oubliant eux. Mais c'est là que se pose un grand problème: peut-être en reussissant à oublier ce qui est associé au sujet "x", je n'arrive qu'à me souvenir de ce dernier encore plus. De cette façon, je n'arriverais jamais à oublier ce que je veux et ce serait là où je me rendrai peut-être compte qu'en réalité c'est quelque chose de trop fort pour atteindre l'oubli...

En fait, je ne devrais pas parler comme s'il s'agissait d'une eventuelle possibilité car, pendant que j'écris ceci, je n'arrive qu'à me souvenir encore plus de ce que je veux oublier. Et c'est ici, dans ce précis morceau de présent, que je comprends qu'il est fort, important et peut-être même inévitable que je pense, rêve e me batte avec ce maudit souvenir qui n'est même pas ce qu'il semble être. No, ce n'est pas un souvenir; c'est une envie. Envie d'aimer, envie de gagner, envie d'avoir quelqu'un dont il m'est impossible avoir. Un mystère, une chanson, un savoir qui a pris la forme d'un homme...

C'est ainsi que je continuerai à essayer de comprendre ce qu'on appelle mémoire ou oubli, comme vous voudrez, je ne me souviens plus.

Problèmes de mémoire, de vérité et de croyance (25/01/2006)

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Mon cerveau se souvient de ce qui lui tante. C'est ce que j'appelle la mémoire sélective. Supposément, tu retiens les choses qui sont de plus grande importance pour ta "vie". D'accord. Alors, avoir mal serait une partie importante de la vie parce que, qu'on le veule ou pas, ce sont des choses les plus déprimantes qu'on se souvient le plus longtemps.

La mémoire est une faculté qui oublie. "L'oubli est un phénomène normal, essentiel même. En fait, nous oublions parce que notre cerveau est organisé pour éliminer tout ce qui pourrait l'encombrer inutilement."

La mémoire ne fait pas qu'oublier, elle invente aussi. La mémoire invente ce qu'on croit avoir vécu parce que nous l'avons ressenti. Si je le sens, je m'en souviens. Mais, est-ce que ce que je ressens est vrai? Non, un sentiment n'est pas un fait et donc c'est inventé. Ma perception des choses invente des bouts de souvenirs; je me souviens donc de choses qui n'ont peut-être pas eu lieu. Ce qui veut dire forcément que la vérité n'existe pas en tant que telle car elle est dictée par la mémoire et comme celle-ci invente ce n'est plus vrai. Alors, je ne peux plus dire que je ne suis pas une menteuse: je mens en croyant dire la vérité. Je me mens à moi et aux autres. Et donc, je CROIS que c'est vrai. Je ne peux pas dire non-plus que je ne crois en rien car je crois au fait que mes perceptions sont vraies et que ce que je dis est vrai quand ce n'est pas forcément le cas.

Je me perds dans mes idées... je ne sais plus où je voulais en venir.

Mi cerebro se acuerda de lo que le da la gana. Esto es lo que llamo memoria selectiva. Supuestamente, recuerdas cosas que son de mayor importancia en tu "vida". De acuerdo. Entonces, sentir dolor seria una parte importante de la vida porque, que nos guste o no, nos acordamos mas de las cosas mas deprimentes.

La memoria es una facultad que olvida. "El olvido es un fénomeno normal, hasta esencial. De hecho, olvidamos porque nuestro cerebro está organizado para eliminar todo lo que lo pudiera estorbar inutilmente."

La memoria no solo olvida, tambien inventa. La memoria inventa lo que creemos haber vivido porque lo sentimos. Si lo siento, lo recuerdo. Pero, ¿Es verdad lo que siento? No, un sentimiento no es un hecho entonces es un invento. Mi percepcion de las cosas inventa pedazos de recuerdos; entonces recuerdo cosas que talvez no existieron. Lo que inevitablemente quiere decir que la verdad no existe como tal ya que es dictada por la memoria y como esta inventa entonces ya no es verdad. Entonces no puedo decir que no soy mentirosa: miento creyendo decir la verdad. Me miento a mi y a los demás. Entonces, CREO que es verdad. Tampoco puedo decir que no creo en nada pues creo que mis percepciones son verdaderas y que lo que digo es verdad cuando no lo es necesariamente.

lunes, febrero 13, 2006

Me duele

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Dolor. sustantivo masculino. 1. Sensación de malestar que siente una persona o un animal porque se ha hecho daño o porque algo en su organismo no se encuentra bien. 2. Gran tristeza o pena que siente una persona por algo que le ha ocurrido.

o que no...



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miércoles, febrero 08, 2006

Llora

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Ahi, en medio de la calle está. Llora. En aquella ciudad las noches son frias. En verano, a pesar del calor, son frias. A esas horas no hay alma que rodee por las calles, frias. Entonces, sin preocuparse, llora. Sabiendose en la mas pura soledad llora.

No llora por amor, ni odio. No siente rabia ni rencor. Pero igual llora. Sin saber por qué, llora. En realidad, se dá cuenta que no sabe nada, pues no entiende cómo llegó hasta aquella calle, en aquella ciudad. No sabe por qué no se mueve, no entiende por qué se queda ahi, inmovil. No quiere ni sentarse. El estar ahi, llorando en medio de la calle, le provoca una sensación distinta, una especie de calma que jamás había sentido. Llora pero no se lamenta. Tampoco llora de alegría. Solo llora. Llora aquellas lágrimas que durante tánto tiempo quiso llorar pero no pudo. Se está vaciando ahora, está muriendo su yo de antes para poder renacer, para ser un verdadero ser.

Ahi, en medio de la calle llora. Y empieza a caminar, sin querer. Ahora llora pero no siempre en medio de las calles pues ahora las cruza, se mueve. Llora caminando, sin pensar en lo que está haciendo. Con cada paso que dá llora un poco más. No sabe dónde va, pero no le importa. Llora. En realidad su mente se apagó, no piensa. Solo llora. Camina y llora. Hasta que llega a un árbol. Sin darse cuenta, se sienta bajo el anciano. Y ahi para de llorar.

sábado, febrero 04, 2006

Pocas palabras

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Jamás lo habia pasado tan bien en el metro, en la calle, en esta maldita ciudad. Imaginandome sola pero estando tan acompañada. Rodeada de gente que me quiere me estoy divirtiendo demasiado. Observando, conversando con desconocidos, sonriendole a gente que jamás volveré a ver, pasando intensos segundos mirando a los ojos de algun fulano por ahi.

Nadie me podra dar lo que necesito asi es que no necesito nada. Ya lo estoy superando. ¿Ven que no me demoro? Nada de nadie. Sigo queriendo olvidar lo que quiero y no puedo tener. Casi me funciona. Tenias razon, lo lograré. Algo encontré, no me lo esperaba, no alcanzé a tenerlo y ahora no lo podré tener. Asi es que mejor no busco mas. Sé que ahi está, que no lo puedo alcanzar y no lo quiero encontrar en otro lugar. Pero igual pienso y me pregunto ¿Sigue ahi lo que encontré o me lo estoy imaginando? ¿De verdad la cagué?

Y por aqui sigo con mi piel bronzeada y mi sonrisa sincera en el metro, en la calle, en esta maldita ciudad, recibiendo lo que me quiera dar la vida pero dando muy poco... Que con una sonrisa no alcanza y tengo muy pocas palabras.

Jamais je m'était fait tellement de fun dans le metro, dans la rue, dans cette maudite ville. En m'imaginant seule mais en étant si acompagnée. Entourée de gens qui m'aiment je me fais trop de fun. J'observe, je parle avec des inconnus, je souris à qui je ne verrais plus jamais, je passe des intenses secondes à regarder dans les yeux d'un étranger quelque part.

Personne ne pourra me donner ce dont j'ai besoin alors je n'ai besoin de rien. Je reussi presque à passer par dessus. Vous voyez ça ne me prends pas de temps? Rien de personne. Je continue à vouloir oublie ce que je veux mais que je ne peux pas avoir. J'y arrive presque. Tu avais raison, je vais reussir. J'ai trouvé quelque chose, je ne m'y attendais pas, j'ai pas eu le temps de l'avoir et maintenant je ne l'aurais pas. Alors c'est mieux que je ne cherche plus. Je sais que c'est là, mais je n'arrive pas à l'atteindre et je ne veux pas chercher ailleurs. Mais quand même, j'y pense et je me demande, est-ce encore là ce que j'ai trouvé ou je me l'imagine? Ai-je vraiment manqué ma chance?

Et je continue par ici avec ma peau bronzée et mon sourire sincere dans le metro, dans la rue, dans cette maudite ville, en recevant ce que la vie veut bien me donner mais en donnant très peu... Parce qu'avec un sourire je n'y arrive pas et j'ai trop peu de mots.

jueves, febrero 02, 2006

Mes 20 vérités

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Idée que je copie d'Amélie, qui l'a copié de quelqu'un d'autre... c'est un peu ça internet non?

1. J'aime dormir. J'adore dormir. Je pourrais dormir toute une journée et vouloir dormir encore.
2. Je suis addicted à pas mal de choses. En ordre d'addiction: Mon ordinateur, les cigarrettes, l'alcool... et... ok je l'avoue... les hommes.
3. J'ai toutes sortes de manies. En commençant par comment placer les choses dans le lave-vaisselle, en passant par comment on doit utiliser un ordinateur et en arrivant même à comment manger à table.
4. Je suis gênée, toujours au début. Mais je déteste les gens gênés!
5. Je me contredis souvent. J'ai lu quelque part : "Ne contredisez jamais une femme, elle finira par se contredire elle même." Eh bien, c'est vrai dans mon cas.
6. Je bois pour oublier, mais dans le fonds je finis juste par me souvenir encore plus de ce que je veux oublier.
7. Je suis hyper jalouse et possessive... mais je me force de pas l'être.
8. Je voudrais dire que je suis une personne très organisée, mais ma chambre (si j'habitais seule ce serait toute ma maison) est un bordel... je n'ai presque plus de place pour tapper à l'ordi et la souris n'a pas vraiment d'espace pour se déplacer.
9. Je parle trop, toujours trop. Je dis toujours trop la vérité (ma vérité). J'ai genre dix mille meilleurs amis (ceux qui veulent bien m'écouter) à qui je raconte tout.
10. Je suis paciente mais violente. (voyez-vous, je me contredis)
11. J'ai un gros problème d'estime de soi.
12. Je suis inconstante, c'est pour ça que j'aime pas planifier les choses à l'avance.
13. J'aime les mecs aux cheveux longs et foncés. (Mais ça c'était pas un secret pour personne)
14. J'aime les mecs qui me posent un défi... qui me font peur surtout.
15. J'aime les mecs, bon!
16. Mon travail consiste à répondre au télephone, en fait il se répond tout seul et je n'ai donc pas le choix de parler. C'est pour ça que j'ai de la misère à répondre à mon cellulaire. Désolée, ne soyez pas trop fachés, laissez des messages je rappelle!
17. Je souffre d'une maladie qui s'appelle "Détachementite" ou "Trop Indépendantite". Si je ne vous voie pas, je m'ennuie pas... sorry.
18. J'aime être seule. Mais je m'invente toujours des amis imaginaires ou je reste collée à mon ordi à chatter sur MSN.
19. J'ai de la misère à prévoir le futur et à me souvenir du passé. Mes souvenirs sont toujours biaisés. Mes plans sont toujours inexistants... sauf les gros que je finis toujours par ne pas respecter.
20. J'aime mes cheveux, avec mes tresses et mes dreads et mes noeuds... Ils expriment exactement comment je me sens à chaque jour. Si je pouvais y foutre le bordel un peu plus, ils illustreraient exactement ma vie au grand complet.

La idea la copio de Amélie, quien la copió de otra persona... internet es asi no?

1. Me gusta dormir. Adoro dormir. Podria dormir un dia entero y querer dormir aun mas.
2. Soy adicta a varias cosas. En orden de adicción: Mi computador, cigarros, alcool... y... ok lo confieso... los hombres.
3. Tengo muchas manias. Empezando por como se deben colocar las cosas en el lavaplatos, pasando por como se debe utilisar un PC y llegando hasta como se debe comer.
4. Soy timida, por lo menos al principio. Pero odio a las personas timidas.
5. Me contradigo a menudo. En alguna parte leí: "No contradiga nunca a una mujer, ella terminara contradiciendose sola." En mi caso es verdad.
6. Bebo para olvidar, pero siempre termino recordando mas lo que quiero olvidar.
7. Soy demasiado celosa y posesiva... pero trato de no serlo.
8. Me gustaria decir que soy una persona muy organisada, pero mi pieza (si viviera sola seria mi casa entera) es el desorden mas grande que han visto... casi no tengo espacio para escribir aqui y mi ratón no se puede mover como quiere.
9. Hablo demasiado, siempre demasiado. Digo demasiadas verdades (mis verdades). Tengo como diez mil mejores amigos (los que me quieren escuchar) a quienes cuento todo.
10. Soy paciente pero violenta. (ven, me contradigo)
11. Tengo un gran problema de autoestima.
12. Soy muy inconstante, por eso no me gusta planificar las cosas.
13. Me gustan los hombres con pelo largo y oscuro. (Pero eso no es un secreto para nadie)
14. Me gustan los hombres que me desafian... que me asustan sobretodo.
15. Me gustan los hombres!
16. Mi trabajo consiste en contestar el telefono, de hecho se contesta solo y no me queda otra que hablar. Por eso es que me cuesta tanto contestar mi celular. Perdonen, no se enojen, dejen mensages y los llamo de vuelta!
17. Sufro de una enfermedad llamada "Independencia". Si no los veo, no los echo de menos... sorry.
18. Me gusta estar sola. Pero siempre me invento amigos imaginarios ou me quedo pegada al PC chateando por MSN.
19. Me cuesta prever el futuro y acordarme del pasado. Mis recuerdos son siempre demasiado parciales. Mis planes inexistentes... menos los grandes que termino por no respetar.
20. Me gusta mi pelo, con mis trenzas y mis dreadlocks y mis nudos... Ilustran exactamente como me siento cada dia. Si los pudiera desordenar un poco mas ilustraria lo que es mi vida.

miércoles, febrero 01, 2006

De todos modos es malo para la salud

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Tengo un dolor en el pecho. No sé si es porque fumo demasiado o porque no puedo estar allí contigo.

Jamás crei en esas tonteras romanticas, esas que dicen que cuando quieres mucho a alguien de duele alguna parte del cuerpo. Te duele el corazón. No lo creo. Uno no ama con el corazón.

Asi es que sigo pensando que me duele porque fumo mucho.

Pero derrepente creo. Y cuando creo que de verdad me duele por la distancia, me dan ganas de fumar...

J'ai mal à la poitrine. Je ne sais pas si c'est parce que fume trop ou parce que je ne peux pas être là avec toi.

J'ai jamais cru ces conneries romantiques, celles qui disent que quand tu aimes quelqu'un tu as mal quelque part de ton corps. Tu as mal au coeur. Je ne le crois pas. On n'aime pas avec le coeur.

Alors je continue à penser que j'ai mal parce que je fume trop.

Mais parfois je crois. Et quand je crois que j'ai vraiment mal à cause de la distance, ça me donne envie de fumer...