jueves, junio 29, 2006

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Maintenant, il n'en reste plus qu'une pensée. Un vide. Une chanson d'amour, plusieurs. Une image de lui dans son monde, sa bulle à lui. Un vague souvenir de mes envies. Il ne l'a dit que quand il se savait hors danger; en voyant des centaines de jours de solitude devant lui. J'avais envie de tout lui dire. J'ai eu envie de sauter dans un avion et partir. Impulsive, folle, optimiste. C'est que l'absence peut t'induire en erreur. C'est un piège, une lumière qui t'attire vers le néant. Et comme ça, je ne voyais plus rien. C'est comme ça qu'on arrive à l'idéaliser tellement qu'on ne le voit plus comme un mortel mais comme un dieu. Parce que c'est vraiment ça un dieu, il tire son pouvoir de son absence. C'est comme ça qu'on s'invente des dieux, qu'on se crée des histoires d'amour. Mais au moins, les histoires qu'on s'imagine font moins mal: comme il n'y a pas de vécu, il n'y a pas d'émotions "extrêmes". Ce ne fut pas le bonheur avec lui et sans lui ce ne sera pas le malheur. Ce ne fut qu'un sentiment de malaise, d'incompréhension, de curiosité. Je sais que je le voudrais toujours, au moins jusqu'à ce que je l'aie. Ensuite, je ne sais pas; ensuite, c'est le néant. Tout ce que je sais c'est que des fois vaut mieux garder les choses pour soi. Pas parce que ça rendrait l'autre jaloux, mais parce que ça peut le rendre indifférent. C'est pour ça que je ne dit rien, parce que je ne veux pas savoir. J'aime bien que tu sois sincère, mais parfois c'est pas nécessaire...

Ahora no queda mas que un pensamiento. Un vacio. Una cancion de amor, varias. Una imagen de el en su mundo, en su burbuja. Un vago recuerdo de mis ganas. No lo dijo hasta que se supo fuera de peligro; viendo cien dias de soledad delante suyo. Queria decirselo todo. Quise saltar en un avion e irme. Impulsiva, loca, optimista. Es que la ausencia te puede inducir a error. Una trampa, una luz que te lleva hacia la nada. Y es asi que me volvi ciega. Asi es como se llega a idealisarlo tanto que no se le puede ver como un simple mortal pero como un dios. Porque asi es un dios, su poder lo saca de la ausencia. Asi es como nos inventamos dioses, nos creamos historias de amor. Pero, por lo menos, las historias que nos imaginamos nos dañan menos: como no se vivió, no existen sentimientos "extremos". No fui feliz con el y sin el no seré infeliz. Solo fué un sentimiento de malestar, de incomprensión, de curiosidad. Sé que siempre lo desearé, por lo menos hasta que lo tenga. Despues, no sé; despues, nada. Lo que sé es que a veces es mejor guardarse la cosas. No porque puedan sacarle celos al otro, pero porque pueden volverlo indiferente. Por eso es que no digo nada, porque no quiero saber. Me gusta que seas sincero, pero a veces no es necesario...

martes, junio 13, 2006

Las 4 y ½

4 comentarios
Digo yo: en este momento me haces falta.
Dices tu... jaja no tengo idea de qué dirás tu.
Digo yo: quiero verte, escucharte.
Dices tu: no quiero verte ni escucharte.
Digo yo: no sé qué es lo que digo, no me queda mucho de mi para saberlo.
Dices tu... tu a lo mejor dirías que estoy loca, que me calle... y si tengo suerte me harías cariño hasta que me quede dormida.

Dice DIOS: estos weones se necesitan mucho... mejor los mantengo separados.