miércoles, diciembre 28, 2005

Me voy a Tar

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Había una vez, hace mucho tiempo, una ciudad maravillosa llamada TAR.
En esa época todas las ciudades estaban intactas, no se veían ruinas, porque la guerra final aún no había estallado.
Cuando sucedió la grán catástrofe desaparecieron todas las ciudades. Menos TAR. Tar existe aún, si sabes buscarla la encontrarás.

Y cuando llegues a Tar, la gente te traerá vino y soda, y podrás jugar con una caja de música que tiene manivela.
Cuando llegues a Tar, ayudarás en la vendimia y recogerás al escorpión que se oculta bajo la piedra blanca.
Cuando llegues a Tar, conocerás la eternidad y verás al pájaro que cada cien años bebe una gota de agua del océano.
Caundo llegues a Tar, comprenderás la vida, serás gato y fenix, cisne y elefante, niño y anciano, y estarás solo y acompañado, amarás y serás amado, y estarás aquí y allá, y poseerás el sello de los sellos.

Y a medida que caigas hacia el porvenir, sentirás que el extasis te posse... para ya no dejarte más.

Il était une fois, il y a très longtemps, une merveilleuse cité appellée TAR.
Dans cette époque, toutes les cités étaient intactes, on ne voyait pas de ruines, parce que la guerre finale n'avait pas encore éclaté.
Lors de la grande catastrophe, toutes les cités ont disparu. Sauf TAR. Tar existe encore, si tu sais la chercher, tu la trouveras.

Et quand tu arrives à Tar, les gens t'apporteront du vin et du soda, et pourras jouer avec une boîte de musique avec une manivelle.
Quand tu arrives à Tar, t'aideras dans la vendange et tu ramasseras le scorpion qui se cache sous la roche blanche.
Quand tu arrives à Tar, tu connaîteras l'éternité et tu verras l'oiseau qui boit chaque année une goutte de l'océan.
Quand tu arrives à Tar, tu comprendreras la vie, tu sera chat et phoenix, cygne et elephant, enfant et vieillard, et tu seras seul et acompagné, tu aimeras et seras aimé, et tu seras ici et là, et tu posederas le cachet des cachets.

Et au fur et à mesure que tu tombes dans l'avenir, tu sentiras que l'extase te posède... pour ne plus jamais te laisser.

domingo, diciembre 25, 2005

Uno

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Uno busca lleno de esperanzas
el camino que los sueños
prometieron a sus ansias,
sabe que la lucha es cruel y es mucha,
pero lucha y se desangra
por la fe que lo empecina.

Uno va arrastrándose entre espinas
y en su afán de dar su amor
sufre y de destroza hasta entender
que uno se ha quedado sin corazón,
precio de castigo que uno entrega
por un beso que no llega
o un amor que lo angañó,
vacío ya de amor y de llorar
tanta traicion...

Si yo tuviera el corazón,
el corazón que di,
si yo pudirra, como ayer
querer sin presentir,
es posible que a tus ojos
que hoy me gritan su cariño
los cerrara con mis besos,
otros ojos, los perversos,
los que hundieron mi vivir...

Si yo tuviera el corazón,
el mismo que perdi,
si olvidara a la que ayer
lo destrozó y pudiera amarte...
me abrazaría a tu ilusión
para llorar tu amor.

Pero Dios te trajo a mi destino
sin pensar que ya es muy tarde
y no sabré cómo quererte,
déjame que llore c­ómo aquel
que dufre en vida la tortura
de llorar su propia muerte.
Pura como sos, habrías salvado
mi esperanza con tu amor.
Uno está tan solo en su dolor,
uno está tan ciego en su penar,
pero un frío cruel, que es pero que el odio,
punto muerto de las almas,
tumba horrenda de mi amor,
maldijo para siempre y me rob­o
toda ilusión.

SI YO TUVIERA EL CORAZÓN...


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TE QUIERO MUCHO ABUELITA! FELIZ NAVIDAD A TODOS!

domingo, diciembre 18, 2005

Jeteur de pierres

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S'établir dans une contrée, en devenir résident,
Se l'approprier et y expulser ses habitants
Misérables gens, soumis par droit de conquête
Et placés sous dépendance politique du conquérant
quête dominatrice, à la recherche d'un état,
Voilà le résultat d'une puissance colonisatrice
Aidés de l'Occident, ils ont tué et chassé, s'y justifient
Ces terres sacrées par présence d'antécédents
Qui parle d'occupation, parle de résistance
Qui parle de colonisation, parle forcément d'indépendance
Danse, entre 2 feux, danse dans une salle
Ou danse entre les balles pour esquiver un couvre-feu
Des animaux courent dans des champs, des hommes sont libres
Des animaux sont dans des cages et des hommes sont dans des camps
Vivre comme on l'entend, clôturé dans un enclot
Liberté pas pour le moment, Oslo est tombé a l'eau
Sanglots, cette vie fait reup
J'écris et crie, juste le combat d'un peuple qui se bat pour sa patrie
L'Amérique s'est battue pour avoir son indépendance
Les résistants face aux Allemands, pour pouvoir libérer la France
Tunisiens et Algériens, eux-mêmes en ont fait autant
Donc les Palestiniens veulent un état au Proche Orient
Et c'est ça le blème, toi tu parles de fanatisme
Mais le conflit ne se résume pas qu'a d' l'antisémitisme
Laxiste, le monde laisse faire et s' défile
Pendant qu' tu tues des civils et les appelles terroristes
On fait mine d'être concerné mais dans le fond on s'en fout
Regardez sans être outré, tant qu' ça n'arrive pas à nous

Jeteur de pierre, le monde sait qu' ton pays est en guerre
Pas d'aide humanitaire, vu qu' les colons te volent tes terres
Et c'est triste, toujours la même morale,
Les mêmes balles, le même mal, la même spirale

J' te re-situe le contexte
Pour comprendre faut reprendre les choses à la base même du problème
Ca dure depuis des siècles, terres convoitées,
Nombreuses ont été les conquêtes
Différentes religions, différentes communautés,
Pour tout un lieu saint chargé d'histoires
L'ironie du sort, il en a vu couler du sang
Jusqu'aux événements les plus récents,
Le territoire a peu connu la paix,
Comprend qu' c'est un peu dur d'y croire
Pour tous les frères, les jeunes de mon âge,
Qui ont grandi dans cette atmosphère
Et qui ont vu ça toute leur vieLes mains nues,
face à une armée prête à ré-ti
S' faire dynamiter s'apparente à d'la résistance
Quoi qu'il arrive, c'est toujours des civils qui morflent
Et les morts ne se comptent plus
On a tous vu la même chose aux infos:
Des balles contre des pierres jetées par des enfants
J'invente rien, les faits parlent d'eux-mêmes,
Dans les 2 camps y a des extrêmes
Faut pas tout confondre
Contredis les sionistes et tu passes pour un antisémite en 2 secondes
C'est l'oppresseur qui prend le rôle de la victime
C'est l'art de "la faire à l'envers" et pour eux elle est belle
Depuis qu'Israël a obtenu son indépendance, ça s'envenime,
La spirale fatale du conflit commence
L'état arabe promis par l'ONU ne sera pas,
S'en suivra la guerre des 6 jours Sabra Ichatillah
Première Intifada, la révolution des pierres,
Massacres sur massacres, périodes meurtrières
Et de nos jours, on peut pas dire que ça va en s'arrangeant
Sujet tabou et dérangeant, j' me devait d'être clair
Issus d' la même famille: enfants d'Ismaël et d'Israël sont des cousins,
Mais trop de gens oublient qu' les juifs du Maghreb
Ont longtemps vécu en harmonie avec les musulmans,
Certains y vivent encore aujourd'hui

Jeteur de pierre, le monde sait qu' ton pays est en guerre
Pas d'aide humanitaire, vu qu' les colons te volent tes terres
Et c'est triste, toujours la même morale,
Les mêmes balles, le même mal, la même spirale

Le mensonge est l'arme de l'intelligent
Les médias l'ont compris,
Se l'approprient et l'utilisent à tes dépens
On parle de leurs bienfaits mais jamais de leurs défauts
Injectent leurs carottes en sachets et jouent avec nos cerveaux
Ils parlent de parents qui envoient leurs enfants au combat
Mais pourquoi? Pour faire passer ces gens pour des sauvages
Tu ferais quoi si on avait tué ton père, détruit ton toit?
J' parle pour moi, ou hak Allah j'aurais envie d' faire un carnage
Haine pour haine, balles perdues et plus
Palestiniens dans les rues, Israéliens dans des bus
Le mal par le mal, venger les tiens,
Tu n' peux plus rien enlever à ceux qui n'ont plus rien
Plus d'accord de paix, ni de cessez-le-feu
Rien qu' ça cogne, ça c'est la politique de Sharon
Ariel, comme la lessive, noir de sentiments,
Blanchi par les médias et les States comme adoucissant
Dans ce coin du monde, où la paix reste difficile à défendre
Israk Rabbin en a fait les frais et s'est fait descendre
Malheureusement, on peut pas revenir en arrière
Les rendez-vous manqués de l'histoire n'ont fait que remuer la merde
Comme si c'était prémédité, processus de paix qui foirent
Et toujours des territoires occupés, des blindés qui tirent,
Des gosses qui jouent sur des mines
Ceux qui veulent mourir en martyre, prêts à partir
Terre de convoitise, lieu saint, posez les armes,
Dire Inchallahim, bonjour, shalom et salam
J' suis pas l'avocat des pauvres mais ça m' fait mal
Et tu sais si j'en parle, c'est parce que personne le fait
Re-fré, vire tes oeillères, y'en à assez,
Le dire m'a soulagé même si j' peux rien y changer
Si à tes yeux on prend position, comprends-le bien,
Qu'on parle pas qu’en tant que musulmans,
Rien qu'en tant qu'être humain

Jeteur de pierre, le monde sait qu' ton pays est en guerre
Pas d'aide humanitaire, vu qu' les colons te volent tes terres
Et c'est triste, toujours la même morale,
Les mêmes balles, le même mal, la même spirale


Sniper

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martes, diciembre 13, 2005

Cold

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En hiver, il fait froid. En été... aussi. La nuit. Toujours la nuit. Même au soleil c'est la nuit.

La porte fermée pour ne pas laisser entrer le froid. Le coeur fermé aussi. Tout est si hermetiquement fermé que... bon, on cache tout. Je ne vois rien, je ne montre rien. Toi je te connais, mais dans le fond je ne te connais plus. Tout change parce que la Terre tourne et les étoiles dansent. Mais est-ce qu'on s'amuse? Je sais pas... Quand j'oublie, je m'amuse. Mais je n'oublie pas souvent. C'est le grand problème. On essaie de s'engourdir pour ne plus rien sentir, mais on sent toujours et ça nous fait chier. Je ne sens rien, moi, mais je m'engourdis pareil. Comme ça je sens encore moins, donc un léger bonheur se fait voir. Mais il se cache toujours.

Ils se cachent aussi, je pense. Ce que je veux dire que je ne connais pas beaucoup de VRAIS. Une bulle, une autre et une encore une autre. Bien vivre ne veut pas dire vivre dans le luxe. Pourquoi est-ce qu'on fait comme si on était si meilleurs que les autres? Même moi, je suis comme ça: MA PHILOSOPHIE PIS FUCK LE RESTE! ...écoute... Écoute-la. Écoute-le. Essaie de comprendre. Argumente, mais essaie de comprendre.

Tu as vécu tellement plus que moi, pourquoi n'as-tu rien à m'enseigner? Pourquoi est-ce que c'est moi qui t'explique ce que c'est l'Anarchie? Pourquoi est-ce que vous êtes si "bourgeois" comme dirait l'autre? J'ai une conversation bien plus intéressante avec un sans-abri qu'avec des gens avec des diplômes d'université! Voilà ce qui me prouve que ton papier ne vaut rien. LE MIEN NON PLUS NE VAUT RIEN. Pas pour moi en tout cas. Pour lui à côté, c'est ce qui me définit en tant qu'être humain! Voyons! On dirait que je suis une frustrée de la vie, non? Mais OUI! Et je le sais ça, mais je ne compte pas finir par me conformer avec ce que ces connards ont à m'offrir. Et le pire c'est que je t'aide à t'enrichir fils de pute! JE T'AIDE À DÉTRUIRE!

Je délire souvent, mais je n'ai personne avec qui délirer. Tout le monde est confortable, tout le monde est bien. Alors, pourquoi est-ce que je m'entête à le sauver ce monde s'il est si bien? Parce qu'il ne l'est pas en réalité! Vous faitez tous semblant! VOUS ÊTES TOUS MALADES!!! Et ceux qui ne le sont pas, meurent de faim parce que vous mangez LEUR BOUFFE! Vous NOURRISSEZ VOS MALADIES, vous les aidez à survivre, vous les aidez à vous tuer. Et vous tuez les autres. Moi aussi je suis une malade. Et moi je nourris mes maladies et elles me tuent... tranquilement. Et je ne veux plus les nourrir mais je continue parce que c'est trop difficle aller contre le courant. Je pourrais les frapper tous, mais ils me tueraient tout ensemble.

Et je continue mes folies. Je continue à me plaindre dans ma tête, à m'envénimer l'esprit. Je commencerais un jour à devenir PARASITE si les choses ne changent pas. Et je ne sais même pas si elles changeront pendant que je respire encore.

Vous, vous pouvez continuer à tuer tout. De toute façon c'est toujours la faute de l'autre.

En invierno, hace frio. En verano... tambien. La noche. Siempre de noche. Incluso al sol es de noche.

La puerta cerrada para que no entre el frio. El corazón cerrado tambien. Todo está tan cerrado hermeticamente que... bueno, escondemos todo. No veo nada, no muestro nada. Yo a ti te conosco, pero ya no te conosco. Todo cambia porqu e la Tierra gira y las estrellas bailan. Pero, ¿Nos divertimos? No sé... Cuando olvido, me divierto. Pero no olvido muy seguido. Ese es el gran problema. Tratamos de entorpecernos para no sentir mas, pero seguimos sintiendo y eso es lo que nos revienta. Yo, no siento nada, pero me entorpiezo igual. Asi, siento aun menos, y es cuando veo una infima felicidad. Y siempre se esconde.

Creo que ellos tambien se esconden. Lo que quiero decir es que no conosco a muchas personas de VERDAD. Una burbuja, otra y otra. Vivir bien no quiere decir vivir en el lujo. ¿Por qué fingimos ser mejores que otros? Hasta yo soy asi: MI FILOSOFIA Y A LA MIERDA EL RESTO! ...escucha... Escuchala. Escuchalo. Trata de entender. Argumenta, pero trata de entender.

As vivido mucho mas que yo, ¿por qué no tienes nada que enseñarme? ¿Por qué soy yo la que te explica lo que la anarquia? ¿Por qué son ustedes tan "burgueses" como diria el otro? Suelo tener conversaciones mucho mas interesantes con mendigos que con diplomados de universidad! Y esa es lo que me prueba a mi que tu papel no vale nada. EL MIO TAMPOCO VALE NADA. No para mi en todo caso. Para este de al lado, es lo que me define como ser humano! Uno pensaria que soy una amargada, ¿no? SI! Y lo sé, pero es que no cuento con terminar conformandome con lo que esto huevones me quieren ofrecer. Y lo peor es que te ayudo a enriqueserte hijo de puta! TE AYUDO A DESTRUIR!

Deliro a menudo, pero no tengo con quien delirar. Todo el mundo está comodo, todo el mundo está bien. Entonces, ¿por qué me obstino con salvar al mundo si está tan bien? Porque no lo está! Están fingiendo! ESTÁN TODOS ENFERMOS!!! Y los que no lo están, mueren de hambre porque ustedes se comen SU COMIDA! ALIMENTAN SUS ENFERMEDADES, les ayudan a sobrevivir, les ayudan a matarlos a ustedes mismos. Y yo también estoy enferma. Y alimento mis enfermedades y me matan... tranquilamente. Y quiero seguir pero sigo igual porque es demasiado dificil avanzar contra la corriente. Les podria pegar a todos, pero me matarian juntos.

Y sigo con mis locuras. Sigo quejandome en silencio, envenenandome la mente. Un dia empezaré à ser un PARASITO si las cosas no cambian. Y nisiquiera sé si van a cambiar mientras yo aun respire.

Ustedes, pueden seguir matando todo. De todos modos el otro siempre tiene la culpa.

sábado, diciembre 10, 2005

Papa?

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L'odeur de sapin.
La neige brune.
La tuque au-dessus des oreilles.
Bottes pointues pour hommes.
Les gros gants.
Les gros flocons de neige.
Les yeux bleus.
La cigarrette du matin.
Le map-o-spread avec des bananes.
Pelleter.

J'aurais envie de m'accrocher à ton cou et te tirer pour te faire plier.
J'aurais envie que de me coucher si tard que tu lèves quand j'éteins la télé.
J'aurais envie d'aller marcher quand il neige avec toi.
D'aller choisir ton arbre de Noël.
D'installer les lumières dehors, même si j'en ai pas envie.
J'ai envie de rire de toi.
De te conter comment ça se passe à l'école ou au travail.
Même que tu m'accuses d'avoir fait quelque chose que je n'ai pas fait.

L'hiver, me fait penser à toi. C'est tout. Comme ça.

lunes, diciembre 05, 2005

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jueves, diciembre 01, 2005

Dificil esta wea

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Vengo llegando de donde un amigo. Un carrete rarisimo. Harto alcool, harta droga, hartos cigarros... lo teniamos todo. Y sin embargo no tomé ni fumé ni nada. Arrendaron dvds de programas de tele que ellos miraban cuando eran chicos... q weá??? Hasta los Picapiedras tienen nombres diferentes... no sé. Con tanta gente me siento sola. Y pienso en cuando estaré en Chile. Y no tengo nada que hacer allá... solo interrumpir un poco las vidas de mi familia. Adoro a mi familia. Me da pena no poder verlos cuando quiero. Me da pena que mi sobrino tenga ya cinco meses y que no lo conosca. Me da pena no haber aprovechado al maximo mi ultimo viaje... de haber llevado a alguien a quien deberia odiar ya que el me odia ahora. Me da pena haber olvidado mi idioma, un poco. Me da pena que todo sea tan dificil. Me da pena que nadie haya vivido lo mismo que yo... que nadie me entienda. Me da rabia que mi mejor amiga sea una weona paranoica... Me da rabia.

Tengo rabia y tengo pena. Quisiera cambiar al mundo y no puedo. Me siento sola y nadie me podrá ayudar con su presencia. Y me la paso escuchando a Portishead y a Radiohead y a Fidel de Los Petinellis. Y lloro.

Es dificil esta weá... me quiero ir pero todavia no me animo... y no puedo dormir!!!


04 How To Disappear Completely.m4a
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(bajense How to disapear completly de Radiohead que no sé por qué pero no la puedo poner entera aqui)

J'arrive de chez un ami. Un party bizarre. Beacoup d'alcool, beaucoup de drogue, beaucoup de cigarrettes... on l'avait tout. Malgré tout je n'ai pas bu, je n'ai pas fumé, je n'ai rien fait. Ils ont loué des dvds d'émissions de télé qu'ils écoutaient quand ils étaient petits... bizarre! Même les Pierrafeu ont des noms différents.... je ne sais pas. Avec plein de gens comme ça je me sens seule. Et je pense à quand je serais au Chili. Et je n'ai rien à faire là-bàs... seulement interrompre un peu les vies de ma famille. J'adore ma famille. Ça me fait de la peine de ne pas pouvoir les voir quand je veux. Ça me fait de la peine que mon neveu ait déjà cinq mois et que je ne le conaisse pas encore. Ça me fait de la peine de ne pas avoir profité au maximum mon dernier voyage... d'avoir amené quelqu'un que je devrais detester étant donné qu'il me deteste moi. Ça me fait de la peine d'avoir oublié ma langue maternelle, un peu. Ça me fait de la peine que tout soit si difficile. Ça me fait de la peine que personne n'ait vecu les mêmes choses que moi... que personne me comprenne. Ça me fache que ma meilleure amie soit une parano... (pour des raison que j'ai censuré parce que c'est vrai que je n'aurais pas du). Ça me fache.

Je suis fachée et triste. J'aimerais changer le monde mais je ne peux pas. Je me sens seule et personne pourra m'aider avec sa presence. Et je passe mon temps à écouter Portishead et Radiohead et Fidel de Los Petinellis. Et je pleure.

C'est dificil... je veux m'en aller mais je n'ai pas encore le courage... et je ne peux pas dormir!!!

lunes, noviembre 28, 2005

Tu me manques

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Sa chaleur me manque.
Son odeur me manque.
Sa prescence me manque.
Sa vie me manque.

Je me manque.

Putain que j'ai hais l'hiver!
Été où est-tu?

Su calor me hace falta.
Su olor me hace falta.
Su presencia me hace falta.
Su vida me hace falta.

Yo me hago falta.

Puta que odio el invierno!
Verano donde estás?

sábado, noviembre 26, 2005

All Mine

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All the stars may shine bright
All the clouds may be white
But when you smile
Oh how I feel so good
That I can hardly wait

To hold you
Enfold you
Never enough
Render your heart to me

All mine.......
You have to be

From that cloud, number nine
Danger starts the sharp incline
And such sad regrets
Oh as those starry skies
As they swiftly fall

Make no mistake
You shan't escape
Tethered and tied
There's nowhere to hide from me

All mine....
You have to be

Don't resist
We shall exist
Until the day I die
Until the day I die

All mine.......
You have to be

(and I don't particularly love the lyrics...)

Y aunque no siga sonando, lo sigo oyendo...

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Et même s'il ne sonne plus, je l'entends.

Now I'm lost...

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Les gens, avec l'âge, comprennent qu'ils ne peuvent rien changer. Moi, avec l'âge, j'espère ne pas comprendre que je ne peux rien changer. Parce que plus j'avance, plus je vois comment ce monde est mal construit. Je comprends comment d'autres avant moi ont voulu changer les choses, ils ont parfois reussi; mais, aussi, je crois qu'ils n'auraient pas du s'arrêter. On ne devrait pas arrêter lorsqu'on reussit une tâche. On devrait en chercher une autre. On devrait chercher une autre tâche à accomplir.

Je ne crois pas, je ne veux pas croire, qu'il a succombé devant son obstacle. Je crois, et ce, sincèrement, qu'il ne nous a jamais laissé tomber... et qu'ils l'ont détruit. Je crois, même si c'est contre vos façons de penser, qu'il n'a jamais lâché... JAMAIS. Et j'aimerais ne jamais lâcher non plus.

Un jour on y arrivera.

P-S: Comme a dit Ferré: "Nous aurons tout, dans dix mille ans."

La gente, con el tiempo, entiende que no puede cambiar nada. Yo, con el tiempo, espero no entender que no puedo cambiar nada. Porque cuanto mas avanzo, mas veo como este mundo está mal construido. Entiendo como otros antes que yo quisieron cambiar las cosas, y lo lograron; pero, también, creo que no deberian haber parado. No deberiamos parar cuando logramos terminar una tarea. Deberiamos buscar otra. Deberiamos buscar otra tarea para realizar.

No creo, no quiero creer, que sucumbó delante su obstaculo. Creo, sinceramente, que nunca nos dejó... y que ellos lo destruyeron. Creo, aunque quizá esté en contra de lo que creen, que nunca paro de creer con nosotros... NUNCA. Y me gustaria no dejar nunca de creer tampoco.

Un dia llegaremos.

P-S: Como dijo Ferré: "Lo tendremos todo, en diez mil años."
PP-S: Uno de esto dias les tradusco Ferré.

I just wasn't there

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I wasn’t there for you
I wasn’t there for you
I know weather’s gonna be fine
But I can’t see you ’cross the streamline
My love waits for me in daytime
But I can’t see you through the snowblind

But I wasn’t there for you

You are gone
I wasn’t there for you
Goodbyes are long
Goodbye
I wasn’t there for you
Goodbye
I wasn’t there for goodbye
I wasn’t there for goodbye

Well, I know time reveals in hindsight
I can wrestle with the stormy night
Because your love lasts a lifetime
But I can see you through the snowblind

But I wasn’t there for you

You are gone
I wasn’t there for you
Goodbyes are long
You are gone
I wasn’t there for you
Goodbyes are long
Goodbye
I wasn’t there for you
I wasn’t thereI wasn’t there for you
I wasn’t there for you
You are gone
I wasn’t there for you
Goodbyes are long

Goodbye

Goodbye

Goodbye...

Ne parles pas tant

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No hables tanto puedes
sufrir antes de tiempo
puedes pasar de amigo,
vivo,muerto
no tienes nada que decirle a tu cara
se te cae a pedazos y rueda en la escala.

Por la que nunca pudiste subir
la que siempre te vas a sufir
con la que nunca tu pudiste amar
siento como eres más vas a llorar

No estes mal no has perdido tu vida
porque nunca fue y nuca sera tuya
es mejor que te escondas
por la espaldas de tu madre
y vivir con la culpa
hasta que te deja el hambre

No hables tanto puedes
quemarte antes de tiempo
puedes pasar del verano al infierno
no tienes ninguna respuesta que darnos
tus preguntas simpre fueron en vano
sobre tu vida y la de los demás
la vida ajena es tu especialidad
aunque te laves la boca con jabón
seguirás simpre siendo del montón

No estes mal no has perdido tu vida
porque nunca fue y nuca sera tuya
es mejor que te escondas
por la espaldas de tu madre
y vivir con la culpa
hasta que te deja el hambre...

sábado, noviembre 19, 2005

Me gusta y no

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Y no me gusta dormir con la puerta cerrada,
Pero es que hace tanto frio afuera.
Y tampoco me gusta gritar tanto,
Pero es que si no nadie escucha.

Y no me gusta me gusta andar mirando hacia arriba,
Pero es que abajo no queda nada.
Y tampoco me gusta escribir poemas,
Pero es que si no me aburro.

Hay muchas cosas que no me gustan
y las hago igual
y no sé porqué.

Y no me gusta observar a los demas,
Pero es que si no me siento muy sola.
Y tampoco me gusta tomar/fumar tanto,
Pero es que si no... no olvido nada.

Y tampoco es que no me guste. Es solo que no... que no todo es verdad de todos modos.

Et je n'aime pas dormir avec la porte fermée,
Mais il fait tellement froid dehors.
Et je n'aime pas non plus crier autant,
Mais sinon personne m'écoute.

Et je n'aime pas me promener en regardant vers le haut,
Mais en bas il ne reste rien.
Et je n'aime pas écrire des poemes,
Mais sinon je m'ennuie.

Il y a beaucoup de choses que je n'aime pas
et je les fais pareil
et je ne sais pas pourquoi.

Et je n'aime pas observer les autres,
Mais sinon je me sens trop seule.
Et je n'aime pas non plus boire/fumer autant,
Mais sinon... sinon je n'oublie pas.

Et c'est pas non plus que je n'aime pas. C'est simplement que... que c'est pas tout qui est vrai de toute façon.

YO (este fué publicado en francés el 10 de octubre 2004)

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A veces me pregunto "¿Quien soy?" En serio, no puedo decir quien soy. Camaleón. Nada mas. Veo, me adapto, me escondo. Asi nadie mira el fondo. A nadie le interesa. Cada uno en su burbuja. Nos nos preocupamos de lo que podrian sentir los otros. Nunca nos paramos a pensar lo que nuestras acciones provocan. Yo quiero ser alguien. Alguien que sea condiderado como grande. Quiero cambiar la historia de una u otra forma. O a lo mejor solo cambiar la historia de alguien, un poco. Pero ¿que es lo que tengo que decir? Absolutamente nada. Soy demasiado empatica para poder tomar MI posicion. No tengo mi lugar. No tengo mi burbuja. Mejor dicho, si tengo una, una demasiado grande, una que contiene muchas otras. Una centena de YOs falsos. Y ¿donde está mi verdadero yo? Con el. Con el que me posée, aquel a quien le regalé mi yo. Yo, mi verdadero yo. Mi yo sensible, mi yo blando, mi yo flojo, mi yo loco, mi yo fuera de control. El me conoce. Bueno, por lo menos yo me di para que me conociera. Un problema. No se toma el tiempo. No se concentra. Ve mi cuerpo y cree que me conoce. Mi alma, mi yo, no se dio la pena de conocerlo. Y le tanto le di que le di todo de mi y me vi. Me conoci en una luz distinta. Me sorprendi viendo que no era aquella que pensé. Me conoci. Pero ahora me pregunto quien seré cuando el ya no esté. Seguramente me perderé. Ya no me veré. Mi yo asi podria desaparecer. ¿Y que si eso pasa? ¿Debo deducir que no era mi verdadero yo pero otra adaptacion, otra version, otra burbuja mas en esta inmensa burbuja? No sé. Lo unico que sé que quiero ser aquella que fui con el. Quizas sin el, pero yo, asi. No quiero crear otra burbuja nueva, un nuevo yo. Quizas que eso no sea posible y que me olvide de mi yo en esta demencia, que me pierda en esta muchedumbre.

martes, noviembre 15, 2005

Montreal y mi mejor amiga

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Mi mejor amiga: mi camara. No entiendo como ni por qué pero todos la quieren. En la calle, he tenido los encuentros mas lindos. En la calle, con mi amiga, mis ojos y mi sonrisa. Es que me hace tan feliz que por ahi voy, contenta.

Y me conversan. Como los norteamericanos no conversan. Me conversan como yo aprendi a no hacerlo. Me conversan y poco a poco pierdo el miedo. Me conversan y converso. Y les cuento... estupideces. Pero siempre los escucho y contesto como puedo sus preguntas.

Hace bien esa sonrisa. La sonrisa que regalo. La sonrisa que recibo sin pedir. El dato de un hombre con barba blanca o un joven con pantalones rojos que me dicen "ACA ESTÁ TU FOTO! POR ACA!" o "MIRE AHI MADEMOISELLE!". Y el, aquel que en la calle vive, aquel que me responde en ingles cuando le pregunto en francés si le puedo sacar una foto"Go ahead", y me sonrie.

La ciudad que odio. La ciudad que amo. Esta es... una gran ciudad.

Ma meilleure amie: ma caméra. Je ne sais pas comment ni pourquoi mais tout le monde l'aime. Dans la rue, j'ai fait les rencontres les plus belles. Dans la rue, avec mon amie, mes yeux et mon sourire. C'est qu'elle me rend si heureuse que je me promène, contente.

Et on me parle. Comme les nord-américains ne parlent pas. On me parle comme j'ai appris à ne pas le faire. On me parle et, peu à peu, je n'ai plus peur. On me parle et je leur parle. Et je leur raconte... des conneries. Mais je les écoute toujours et je réponds comme je peux à leur questions.

Ça fait du bien sourire. Le sourire que je leur donne. Le sourire que je reçois sans demander. Le monsieur avec la barbe blanche ou le jeune avec les pantalons rouges me disent "ELLE EST ICI VOTRE PHOTO! PAR ICI!" ou "REGARDEZ PAR LÀ MADEMOISELLE!" Et lui, celui qui habite dans la rue, celui qui me réponds en anglais quand je lui demande en français si je peux prendre sa photo "Go ahead", en me souriant.

La ville que je déteste. La ville que j'adore. Elle est... une grande ville.

Futur Utopique

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Où je suis une fumée danse
C’est le vent qui pense
Parsème ces mots de petites nuances
Où je suis la vie me parait si différente,
Il y n'y a plus rien qui fait que je la trouve effrayante.

Tout est plus beau, la Terre est moins dégoûtante
Il fait plus chaud et Mère Nature est contente
Le monde est en paix
Même les gens s’entendent
Il n'y a plus de méchant, tout le monde chante ensemble
Tout est plus grand pour ce que je ressens
L’amour existe et prend le dessus sur tout ce qu’il y a de violent
Au fond je suis dans un rêve
Une place où mes désirs se réalisent
Où tout autour de moi ce stabilise
Si tout ce que je déteste fige,
Si je peux sauver mon monde,
C’est là dessus que je mise
Toutes les choses que je respecte, jamais je néglige
Je suis même prêt à donner...
À donner ma chemise.

Les arbres poussent, grandissent
Ils se sentent pas pris entre 10 pouces
Des hommes et leur machines
La destruction se termine
Il n'y a plus d’argent
La race humaine, y a pu rien qui la domine
Fermées sont les usines
Ouvert est l’esprit des gens
Le monde s’écoute
Se donne la chance sur tous les continents
Il n'y a plus de famine
Personne n’a le ventre vide
Chaque personne est égale, égaux
Il n'y a pu de crosseur qui préside en haut
Pour l’ensemble des pays il y a juste un seul drapeau
Et le symbole c’est un signe de PEACE
Marqué en gros c’est un signe de PEACE
Oh! marqué en gros!

L’air que je respire est pur
Tout le monde respect la nature
Le monde marche, il n’y a pas de voiture
Ça c’est ma vision du futur
Un futur utopique
Une réalité impossible, irréalisable
Un chemin tracé, mais impraticable
Celui d’un rêve de rêveur qui veut changer vos valeurs
VOUS mangeurs de vies, sans lueur
VOUS voleurs d’existence, exterminateurs
Ceux qui pensent juste au profit
Ceux qui s’enrichissent sur le dos de la vie
Bref ceux que je haïs
Que je rêve de voir un jour
De voir anéantis.

Donde estoy un humo baila
Es el viento que piensa.
Derrama estas palabras de pequeñas matices.
Donde estoy la vida me parece tan distinta.
Ya no hay mas nada que haga que me asuste.

Todo es mas lindo, la Tierra es menos "asquerosa"
Hay mas calor y Madre Naturaleza está contenta
El mundo vive en paz
La gente se entiende
No hay malos y todos cantan juntos
Todo es mas grande como lo que siento
El amor existe y le gana a la violencia
En fin, estoy en un sueño
Un lugar donde mis deseos se realisan
Donde todo lo que me rodea se estabilisa
Si todo lo que detesto desaparece,
Si puedo salvar mi mundo,
Eso es lo que quiero hacer
Todo lo que respeto, jamas descuido
Estoy listo hasta a dar...
A dar mi camisa.

Los arboles crecen
Ya no se sienten encerrados entre 10 pulgadas
Los hombres y sus maquinas
La destruccion termina
No hay mas dinero
Ya no hay nada que domine a la humanidad
Las fabricas cerradas están
La gente abre los ojos
El mundo se escucha
Se da una oportunidad en todos los continentes
Ya no hay mas hambre
Nadie tiene el estomago vacio
Todos son iguales
Ya no hay ladrones que presiden arriba de todo
Hay solo una bandera para todos los paises
Y el simbolo es el de PAZ
Se vé grande el simblolo de PAZ
En grande se vé!

El aire que respiro es puro
Todos respetan la naturaleza
La gente camina, no existen los autos
Es mi vision del futuro,
Un futuro utopico
Una realidad imposible, irrealisable
Un camino listo pero donde no se puede pasar
El sueño de un soñador que quiere cambiar sus valores
USTEDES que se "comen" las vidas, sin luz
USTEDES que se roban la existencia, exterminadores
USTEDES que solo piensan en su beneficio
Que se enriquesen de la vida
Ustedes que odio
Ustedes a quienes, sueño,
Ver un dia destruidos.

sábado, noviembre 12, 2005

Caminando sola

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Decidió tomar el camino que mas la asustó. Por ahi empezó a caminar. Ahora avanza, avanza sin mirar atrás. Y sabe que ya no podrá olvidar lo aprendido y las cosas no serán como antes.

A pesar de todo se siente... bien. No se puede quejar en realidad. Por lo menos todavia no se quiere quejar. Pero igual tiene miedo. Y este miedo es lo que la mantiene feliz. Feliz de no saber que esperar del mundo ahora que todo es diferente. Pero tambien miedo de no poder, de decepcionar a alguien. Y no me digan que solo importas tu y lo que tu piensas porque si sé. Pero igual. De hecho se caga de miedo... de decepcionarse a ella misma.

Y bueno eso ya empezó... y dicen que es normal que a veces uno salga a tomar fotos y cagarse de frio y que ninguna salga bien. Bueno igual son 60 fotos en un dia. Todo calculado, como le dijeron. 3 fotos iguales y no. Primer fracaso. Killed the deadline... trabajo atrasado. Razón? Falta de inspiracion o no sé que. No creo en eso.

... no creo en nada ...


Elle a decidé prendre le chemin qui lui fesait le plus peur. C'est par là qu'elle a commencé à marcher. Maintenant, elle avance, elle avance sans se retourner. Et elle sait qu'elle ne pourra pas oublier ce qu'elle a appris y les choses ne seront pas comme avant.

Malgré tout elle se sent... bien. Elle ne peut pas se plaindre en fait. Au moins, elle ne veut pas se plaindre. Mais elle a peur pareil. Et c'est cette peur qui la garde heureuse. Heureuse de ne pas savoir à quoi s'attendre maintenant que tout est différent. Mais elle a peur aussi de ne pas pouvoir, de decevoir quelqu'un. Et ne me dites pas que c'est seulement toi qui importe et ce que toi tu penses parce que je le sais. Mais quand même. En fait, elle se chie de peur (bon c'est une expression en espagnol là).. de se decevoir elle même.

Et bon, c'est commencé... et ils disent que c'est normal que des fois tu sortes prendre de photos et te geler le cul puis qu'aucune ne soit bonne. Bon, c'est quand même 60 photos en une journée. Tout calculé, comme on lui a dit. 3 photos pareilles et pas pareilles. Premier échec. Killed the deadline... travail en retard. Raison? Manque d'inspiration o je sais pas quoi. Je ne crois pas à ça.

... je ne crois en rien ...

miércoles, noviembre 09, 2005

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J'ai les yeux secs d'avoir tant pleuré. Et ce n'est pas pour amour, mais de rage que je pleure.

J'aurais voulu tout comprendre. J'aurais voulu que tu comprennes. Qu'on arrive au juste milieu de tout ça. Que tu prennes tes responsabilité et moi les miennes. Mais j'en veut pas. Et je suis pas obligée non plus. Peut-être que ce n'était tout simplement pas le temps. Peut-être qu'on avait mille et une choses à découvrir encore. Ou peut-être qu'on n'était là que seulement pour apprendre, rien d'autre. Apprendre et laisser tomber.

Je ne peux pas dire que j'ai laissé tomber parce que je me suis battue. Mais là, j'en peux plus.

Tengo los ojos secos de tanto llorar. Y no es por amor, pero de rabia que lloro.

Me hubiera gustado entenderlo todo. Me hubiera gustado entendieras. Que llegaramos al medio del camino. Que tomaras tus responsabilidades y yo las mias. Pero no quiero. Y no estoy obiligada tampoco. A lo mejor no era la hora. A lo mejor teniamos mil cosas que descubrir. O a lo mejor estabamos solo para aprender, nada mas. Aprender y dejarse.

Yo no puedo decir que te dejé porque me peleé. Pero ya no puedo mas.

domingo, noviembre 06, 2005

Muzik

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Ah ce monde de techonologie! Comment est-ce qu'on peut vivre réellement si on passe plus de la moitié de son temps assis devant un ordinateur... Au travail? Ordinateur. À l'école? Ordinateur. À la maison? Ordinateur. On dirait que maintenant le monde se trouve DANS l'ordinateur et pas le contraire. Alors, on est la génération qui tappe vite, qui parle en HTML, qui ne peut presque respirer sans ordinateur. Bon? Mauvais? Je ne sais pas hein...

En tout cas, il a été découvert récemment dans mon monde à moi que je peux bien mettre de la musique ou des vidéos sur mon blog alors voilà: Death Cab for Cutie... un nom affreux si on me le demande... et même si on ne me le demande pas!


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sábado, noviembre 05, 2005

Plastic Memories

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A veces uno dice lo que piensa
Pero a veces uno dice lo que cree pensar
Y esto termina siendo solo un pensamiento en voz alta
El principio de una opinion...

Y bueno eso nada que ver con la cancion...

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No te quedes inmobil al borde del camino
No congeles al jubilo
No quieras con desgana
No te salves, ahora ni nunca
No te llenes de calma
No reserves del mundo solo un rincón tranquilo
No dejes caer los parpados, pesados como juicios
No te quedes sin labios
No te duermas sin sueño
No te pienses sin sangre
No te juzgues sin tiempo
Pero si pese a todo no puedes evitarlo
Y congelas el jubilo
Y quieres con desgana
Y te salvas ahora
Y te llenas de calma
Y reservas del mundo solo un rincón tranquilo
Y dejas caer los parpados, pesados como juicios
Y te secas sin labios
Y te duermes sin sueño
Y te piensas sin sangre
Y te juzgas sin tiempo
Y te quedas inmobil al borde del camino
Y te salvas

Entonces no te quedes conmigo

Mario Benedetti

lunes, octubre 31, 2005

Imagine

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Imagine I were to leave here

What would happen if they told me I was to die? What would I feel? What would you feel?
Do you think you have a say in my life? Do you really?
Will I let myself die and rot? Or will I fight it?
Is there anything, anyone that I should live for?
Am I scared of death? No. I'm really not. Not of mine. Of my mother's I am.

I can forgive. I can forget... I forget too easily. I just think I shouldn't. Cause then I feel like I do now... selfish.

Imagina que me voy.

¿Que pasaria si me dijieran que me voy a morir? ¿Que sentiria? ¿Que sentirias?
¿Crees que pueder opinar de mi vida? ¿En serio lo crees?
¿Me dejaria morir y pudrir? ¿O me pelearia?
¿Hay algo, alguien por quien tendria que vivir?
¿Le tengo miedo a la muerte? No. De verdad que no. No a la mia. A la de mi madre si.

Puedo perdonar. Puedo olvidar... Olvido muy facilmente. Creo que no deberia. Porque despues me siento como ahora... egoista.

domingo, octubre 30, 2005

Met someone

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I met someone today. Someone who I'll never really meet. Meet him.

"And I knew Billy Clinton became one of the boys when he bombed Iraq. Remember that? It was just a little news story for two days, isn't that interesting? He launched 22 cruise missles against Baghdad in retalliation for the alleged assassination attempt against George Bush which failed. We killed six innocent people, launching twenty two, I think three million dollars-a-piece missles on Baghdad, killing six innocent people. Umm...I think that's a little bit overdoing it if you ask me. You know what we should have done? We should have embarrased the Iraqians. You know what I mean? Here's how we could do it: WE should have assassinated Bush, and said "That's how you do it Towelhead, don't fuck with us!". And see, if Bush had been the one who would have died there would have been NO loss of innocent life."

His about right ain't he?

lunes, octubre 24, 2005

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Je pense que je suis entrain de perdre mon hypocrisie. Je ne suis plus capable de forcer un sourire, de dire quelque chose de gentil. Ça me repugne. Pourquoi est-ce que je devrais dire la vérité seulement à ceux que j'aime? Je dirai la vérité à tous. La fille dans l'autobus qui écoutait son walkman trop fort... j'y ai dit. Gentiment, mais j'y ai dit. C'est bien mieux comme ça. Ma collègue de travail qui veut qu'on fonctionne comme elle veut... j'y ai dit.

Toi tu est important. Et c'est à toi que je ne suis pas capable de dire la vérité. Je ne veux pas te faire de mal. J'ai peur de le regretter. J'ai peur de ne plus avoir quelqu'un comme toi. Et je t'aime. Je t'aime mais ça ne marchera pas. Je le sais. Je le sens.

Creo que estoy perdiendo mi hipocresia. Ya no puedo forzar una sonrisa, de decir algo amable. Me da asco. ¿Por que tendria que decirles la verdad solo a los que quiero? Les diré la verdad a todos. La niña en la micro que estaba escuchando su walkman demasiado fuerte... le dije. Amablemente, pero le dije. Es mejor asi. Mi colega que quiere que todo funcione como ella quiere... le dije.

Tu eres importante. Y es a ti a quien no le puedo de decir la verdad. No te quiero herir. Tengo miedo de arrepentirme. Tengo miedo de ya no tener a alguien como tu. Y te quiero. Te quiero pero no funcionara. Lo sé. Lo siento.

sábado, octubre 22, 2005

Malestar

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No le teme a nada. Corazón de piedra tiene. Egoista es.

No llora. No se siente mal. Cree que la muerte es parte de la vida y que todos los rituales que se inventan los hombres son ridiculos.

Pero llora por estupideces. Estupideces como las peliculas o como las fotos. Como cuando de tanta furia se siente tan impotente.

A veces siente que no sirve. A veces siente que lo unico que hace es aprovecharse del sistema. Y siempre se queja.

Y piensa que está mal. Todo lo que hace est­á mal. Todo lo que siente está mal. Mal porque es egoista. Y aunque le digan lo contrario no les cree.

Es maniatica. Demasiado. Se le olvidan los acentos, pero jamás las comas ni los puntos. Es desordenada. Es mala. Pero lo peor de todo es que no miente... y hiere.

En todo la critican. Piensan que no le importa, pero si le importa. Y se siente mal.


Elle n'a peur de rien. Elle a un coeur de pierre. Elle est égoiste.

Elle ne pleure pas. Elle ne se sent pas mal. Elle croit que la mort fait partie de la vie et que tous les rituels que s'inventent les hommes sont ridicules.

Mais elle pleure pour des conneries. Des conneries comme les films o les photos. Des conneries comme quand elle se sent impussante par tant de furie.

Parfois, elle pense qu'elle ne sert à rien. Parfois elle pense que la seule chose qu'elle fait c'est profiter du système. Et elle se plaint toujours.

Puis elle pense que c'est mal. Tout ce qu'elle fait est mauvais. Tout ce qu'elle sent est mauvais. Mauvais parce qu'elle est égoiste. Et même quand ils lui disent le contraire, elle ne les croit pas.

Elle est maniaque. Trop. Elle oublie les accentes, mais jamais les virgules ni les points. Elle est désordonée. Elle est méchante. Mais le pire de tout c'est qu'elle ne ment pas... et fait mal.

Ils la critiquent dans tout. Ils pensent qu'elle s'en fout, mais elle ne s'en fout pas. Et elle se sent mal.

domingo, octubre 16, 2005

coherente!

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Y le dicen comunista! Ha! Y lo sigue defendiendo! Pero en qué estupidez se ha metido? Como puede uno creer en tanta igualdad cuando lo unico que se busca es ser mejor que todos, cuando se compra uno tanto plastico. Como se puede predicar algo que uno no es capáz de aplicar en su propia vida?

Compren! Compren! Trabajen demasiado y dejen de vivir. Ni se atrevan a respirar! Compren no mas! Que importa si tanto trabajas que ni los puedes aprovechar? Time is money! Por favor no duermas que no hay tiempo!

"Dios mio que horror!" "Que terrible!" ... primer punto: Dios no es tuyo como tu no eres de Dios. punto dos: que horror? ellos mueren de hambre, de frio, de dolor, de pena o mueren ahogados, aplastados... que horror? No mientas, yo sé que ni te importa. Mañana lo olvidarás, al igual que todos. tercer punto: TERRIBLE... crees que lo es? te salió una espinilla! qué terrible! hoy no te gusta tu pelo! qué terrible! las uñas? no te pintaste las uñas? qué TERRIBLE! ... dejen de ser tan exagerados... por favor dejen de gritar tanta incoherencia.

Y CALLENME PORFAVOR

NI EN ESTAS 14 LINEAS HE SIDO CAPAZ DE SER AUNQUE SEA UN POCO COHERENTE!

Et ils l'appellent communiste! Ha! Et elle continue à le défendre! Mais dans quelle connerie s'est elle embarquée? Comment peut-on croire en tant d'égalité quand tout ce qu'on cherche à être c'est le meilleur de tous, quand on achète tant de plastique. Comment peut-on parler de quelque chose qu'on est même pas capable d'appliquer à sa propre vie?

Achetez! Achetez! Travaillez trop et arrêtez de vivre. N'osez même pas respirer! Faites juste acheter! C'est pas grave si vous travaillez tellement que vous ne pouvez même pas profiter de ce que vous avez acheté? Time is money! Arrête de dormir qu'il n'y a pas de temps pour ça!

«Mon Dieu quel horreur!» «C'est terrible!» ... premier point: Dieu n'es pas à toi comme toi tu n'est pas à Dieu. deuxième point: quel horreur? ils meurent de faim, de froid, de douleur, de tristesse ou ils meurent étouffés, écrasés... quel horreur? Ne mens pas, je sais que tu t'en fous. Demain t'oublieras, comme tout le monde. troisème point: TERRIBLE... penses-tu que ça l'est? t'as un bouton? c'est terrible! t'aimes pas tes cheveux aujourd'hui? c'est terrible! tes ongles? tu ne t'est pas fait les ongles? c'est terrible!... arrêtez d'être si superlatifs... s'il vous plaît arrêter de crier tant d'incoherence.

ET TAISEZ-MOI S'IL-VOUS-PLAÎT

J'AI MÊME PAS ÉTÉ FOUTUE D'ETRE COHERENTE NI DANS CES LIGNES!

viernes, octubre 14, 2005

Mentiras

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Pienso cuanto mas pienso
Yo me prengunto mi amor
Cual es la forma que tengo
Que tengo yo ante tus ojos

Quizas que vez cuando me miras
Quizas como crees que soy
No pienso en lo que crees
Ni he hecho lo que piensas

Apariencias son mentiras
Pero yo nunca tengo razon.

Je pense, oh combien je pense
Je me demande mon amour
Quelle est la forme que j'ai
Que j'ai dans tes yeux

Qui sait ce que tu vois quand tu me regardes
Qui sait comment tu penses que je suis
Je ne pense pas ce que tu crois
Et je ne fais pas ce que tu penses

Les apparences sont des mensonges
Mais moi j'ai jamais raison.

martes, octubre 11, 2005

Que me pierda... que me encuentre

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Esperando que llegue el libro que tanto quiero leer, me imagino las palabras que contiene. En mi busqueda de raices o por lo menos de un idioma para poder coordinar mis pensamientos, me he perdido varias veces. Si creo que por fin he encontrado lo que sin parar he buscado, me doy cuenta despues de algunos momentos que no. Escribo en castellano sin saber como escribir. O escribo en francés sin saber como sentir. "Branche-toi!"... significa enchufate, toma una decision. Y no puedo. Sigo creyendo que, a pesar de decir lo contrario, las apariencias mienten. Mi apariencia miente. Y sigo sin entender por qué siendo lo que soy se espera de mi otra cosa. Alguna vez has visto en mi lo que esperaste ver? Desilusiones.

Para volver al libro, se llama "Nulle part" Ningun Lugar. Y aun sin haber leido aunque sea una palabra lo espero impacientemente. Quisiera ver si tal vez existe otro ser humano que sienta lo que siento con respecto a mi hogar.

domingo, octubre 02, 2005

Don't forget that you are unique. Just like everyone else.

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jueves, septiembre 22, 2005

La photographie, pour moi, c'est...

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La photographie, pour moi, c'est te montrer ce que je vois. C'est te montrer ce que j'ai vu, ce que j'ai vécu. La photographie, pour moi, c'est te faire voir où j'ai été. C'est te montrer une partie de moi. Ce n'est pas te montrer mon sujet. Ce n'est pas te montrer un arbre, un banc, un itinérant. C'est te montrer ce que mes yeux voient... ce que ma peau sent... ce que ma bouche goûte... enfin, ce que mes sens sentent.

La photographie, pour moi, c'est voler une partie de ton âme... ou de la sienne. C'est faire mienne une vie qui ne l'est pas... un esprit que je ne connais pas... une histoire que je ne connaîtrai pas. C'est prendre un moment... faire mien le temps. Figer tout et reconnaître que je laisse tout passer.

La photographie, pour moi, c'est ma vie... en images. C'est, pour moi, ma vie. POINT.

viernes, septiembre 16, 2005

Festival des Films du Monde - Salvador Allende, de Patricio Guzmán (Chili)

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El río invierte el curso de su corriente.
El agua de las cascadas sube.
La gente empieza a caminar retrocediendo.
Los caballos caminan hacia atrás.
Los militares deshacen lo desfilado.
Las balas salen de las carnes.
Las balas entran en los cañones.
Los oficiales enfundan sus pistolas.
La corriente se devuelve por los enchufes.
Los torturados dejan de agitarse.
Los torturados cierran sus bocas.
Los campos de concentración se vacían.
Aparecen los desaparecidos.
Los muertos salen de sus tumbas.
Los aviones vuelan hacia atrás.
Los "rockets" suben hacia los aviones.
Allende dispara.
Las llamas se apagan.
Se saca el casco.
La Moneda se reconstituye integra.
Su cráneo se recompone.
Sale a un balcón.
Allende retrocede hasta Tomás Moto.
Los detenidos salen de espalda de los estadios.
11 de Septiembre.
Regresan aviones con refugiados.
Chile es un país democrático.
Las fuerzas armadas respetan la constitución.
Los militares vuelven a sus cuarteles.
Renace Neruda.
Vuelve en una ambulancia a Isla Negra.
Le duele la próstata.
Escribe.
Victor Jara toca la guitarra.
Canta.
Los discursos entran en las bocas.
El tirano abraza a Prat.
Desaparece.
Prat revive.
Los cesantes son recontratados.
Los obreros desfilan cantando
¡Venceremos!
Gonzalo Millán

jueves, septiembre 15, 2005

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ARS LONGA, VITA BREVIS

domingo, septiembre 11, 2005

Découverte du Vieux Montréal

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Esto mejor lo escribo en español jajaja...

Hace ya casi 10 años que vivo aqui y me estoy dando cuenta lo mal que me hace la rutina. Hago lo que siempre he hecho y voy donde siempre he ido y si descubro algún lugar nuevo... quiero volver y volver. Eso es lo que pasó con el McGill Campus, en las cálidas noches de verano, siempre en el mismo lugar.

La yo aburrida descubrio (y esto después de mas o menos 2 años de estar al ladito) el Viejo Montreal. Tenia que ir a comprar a una tienda de foto que está a casi 3 cuadras de mi trabajo y buscando la calle Notre-Dame encontré a una micro ciudad totalmente diferente, un ambiente mucho mas tranquilo, calles mas angostas no pavimentadas pero de piedras, olor a excremento de caballo y a comida muy muy rica (me imagino), tiendas muy "tendance".

Y con todo esto me acordé de cuando estube en Santiago, con su arquetectura un poco mas europea de a la que estoy acostumbrada... Todo esto para decir que me he dado cuenta que aunque me la pase pensando lo contrario debo ser muy cerrada... A TRES CUADRAS Y NO ME DI NI CUENTA!! Asi que ahora pretendo descubrir un dia un poco mas a este Montreal inmenso al que veo todos los dias pero no conosco... ahora tengo a mi cámara de pretexto jejeje...

sábado, septiembre 03, 2005

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Una vez le preguntaron a un guerrero invencible por qué se paseaba por las calles con un aire tan humilde. Mostró una mano extendida y contestó: "Mis dedos son cinco señores. Estos cinco señores se inclinan ante mí". Fue cerrando la mano hasta convertirla en un puño. "Mientras más humildes se hacen, más fuerza me dan".

Crazy Monday Night

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Après (presqu')une semaine, je peux dire avec un certain recul que le show de System of a Down fut un de ceux que je n'oublierais jamais. J'ai eu l'honneur d'y être avec mon petit frère Matias.

Transpiration. Fat sweaty guys with no shirts on. Pain. Total adrenaline. Jumping around. Pushing around. Smell. Cigarettes. Beer. Screams. Just downright letting go and having fun. It was cool because even if the mosh pit was crazy, if you fell people would pick you up. The pain... well... I knocked heads with this girl behind me and it really hurt... aside from that I don't think anyone really got hurt. Violence... there wasn't any really exept for the pushing around which I don't consider violent but in the papers... well, you know the papers... And, um, THE SWEATY FAT GUYS!!! OMG! I'm not an easily disgusted person but fuck man if your going to be THAT sweaty you HAVE to keep your clothes on so the fabric could absorb at least a bit of it! The smell... I can stand. Singing along... um... and screaming along was great... everything was great exept for the fat sweaty guys... hahaha.. oh yeah and the bump in the head... that hurt...

NEXT TIME YOU GUYS COME I'LL BE THERE AND I WON'T BRING A BAG... that was a bad idea...

jueves, septiembre 01, 2005

Lágrimas

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Unsteady. so unsteady. ever changing. can't be quiet. even quiet i'm not. forgetful. i cry. sometimes i feel. i stop hiding. and i feel. too strong? or not enough? uneasy. don't say i'm pretty. i'm not. i don't want to be. i want to cry and don't know why. do i love you? what is love? i don't know! i'll be strong. and get over it. tears. they come. as if to prove i live. i feel. i call. but you don't answer. i yell. no one hears. intoxicate me. make me feel like another. don't want to be me. i forget to be me. i forget i can feel. close it up. put it away. and forget about it.

tears fall. tears fall. i call. i wish i had you. but i guess i've lost you. ache. i ache. my heart aches. but i'll go on pretending not to feel. forgeting that right now my world has fallen.

Lilac Wine

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I lost myself on a cool damp night
Gave myself in that misty light
Was hypnotized by a strange delight
Under a lilac tree
I made wine from the lilac tree
Put my heart in its recipe
It makes me see what I want to see
and be what I want to be
When I think more than I want to think
Do things I never should do
I drink much more that I ought to drink
Because it brings me back you...

Lilac wine is sweet and heady, like my love
Lilac wine, I feel unsteady, like my love
Listen to me... I cannot see clearly
Isn't that he coming to me nearly here?
Lilac wine is sweet and heady where's my love?
Lilac wine, I feel unsteady, where's my love?
Listen to me, why is everything so hazy?
Isn't that he, or am I just going crazy, dear?
Lilac Wine, I feel unready for my love...

Jeff Buckley

martes, agosto 30, 2005

Techniques de Laboratoire I

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Premier jour d'école.

Bon. Il n'y aura pas vraiment de cours de vrai labo parce qu'on ne travaillera pas tellement avec des caméras analogiques. C'est un peu poche, mais numérique ça me va. Euh... le prof a l'air cool, le cours est très long (5 heures) puis il finit à 23h30!!! C'est totalement malade! Je semble être la seule du groupe à ne rien connaître en photo (moins en analogique). Euh... gros challenge qui commence...

martes, agosto 23, 2005

Caught myself dreaming again

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As each minute passes by and time is lost in memory, I catch myself dreaming. Not seizing the moment, feeling impotent, dreaming. Wanting so much, imagining the world I don't know... dreaming. Making plans in my head for days to come... but then, I'll still be dreaming.

Slap me awake. I have to stop dreaming.

domingo, agosto 21, 2005

Chilito

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-Yes, may I help you?
-Yeah, let me get, uh, three tacos with no lettuce, a chilito and a nacho with...
-Excuse me sir, but we do not have the, how do you say? CHILITO.
-A chilito, a chilito, you know what I'm saying, the uh...
-No sir, I do not know. We have no chilito as you say. This is Tacoland, we only have the fresh vegetables with pita loaf. We have no chilitos.
-Man fuck that! I'm looking at this shit right on the menu. I want a chilito!
-Perhaps, instead I make for you a fresh slice of tomato and pita, no?
-What the fuck!?! I want a mother fucking chilito man!
-Yeah?.... Fuck off!
-What?!
-Fuck off!
-Hey fuck you mutha fucka!
-No! Fuck YA!
This is an interlude rigth after the Bring It On track in The Amazing Jeckel Brothers album By ICP (insane clown posse) that I find quite funny.
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I know it probably hurts.

But you can't expect to have had it for long. It really wasn't your home. It was someone else's before and they took it from them to give it to you. It was never really yours. Everything you have was taken from someone else. It's time to give - at least some of - it back. Give it back and don't cry.

viernes, agosto 19, 2005

Viajar

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Nomade

Le monde m'appelle. Dépêche! Finit ce que tu as à faire! Viens me voir!

On le sait... Le Chili en premier. Et ensuite? Cuba? Ibiza? Amsterdam? L'allemagne? La Thailande? La Tunisie? Et le Maroc? Et le Niger? Et Paris? Bien sûr!

On dirait que j'aurai jamais le temps... et/ou l'argent pour réaliser ces rêves... mais peu à peu je vais m'approcher d'eux... et me surprendre. Parce que la planification d'un voyage... ça fait 2 avec moi hehehe. Cette année, le Chili c'était sur un coup de tête! Et là, c'est juste parce que je DOIS y retourner! Mais après, est-ce que j'aurais encore cette soif de ma terre? On verra. Même moi je ne peux pas me prédire...
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JE M'EXCUSE ANISSA POUR AVOIR MARCHÉ SUR TES VALEURS COMME ÇA. VRAIMENT, JE M'EXCUSE

lunes, agosto 15, 2005

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I HAVE BEEN OFFICIALLY ACCEPTED INTO PHOTOGRAPHY. THIS MEANS I WILL BE GOING BACK TO SCHOOL THIS FALL. REAL HAPPY I AM!

domingo, agosto 14, 2005

les couleurs de ma vie

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Sans vraiment m'en apercevoir, j'ai commencé à attribuer des couleurs "significatives" à tout. C'est de là ma récente obsession avec la couleur orange. Tout à commencé le 24 juin quand je me suis rendue compte que les lumières de la ville, à un certain moment de la nuit, donnaient une couleur orangeâtre au ciel. Suite à cette découverte quelque peu amusante, j'ai aussi remarqué que les lumières des rues, le soir tombé, n'illuminaient pas en blanc, mais en orangé. Et donc mes moments préférés de la journée sont d'aurenavant marqués par cette couleur... parce qu'il n'y a pas de soir où je ne m'en rends pas compte. Ma chambre est aussi d'un orange vif qui donne un sentiment accueuilant de chaleur à cette petite pièce qui loge mon monde. Et c'est ainsi que je vis une amitié avec cette belle couleur, surtout quand mon esprit n'est pas tout là. Et c'est ainsi que je me sens bien aux moments ou je sens sa présence. Je me demande bien si elle a une signification spéciale... tiens voilà: "Active et tonifiante l’ORANGE éveille les sens, avive les émotions et provoque une sensation de bien-être et de bonne humeur. Dans l’art religieux, l’ORANGE symbolise la révélation de l’Amour Universel. Le langage symbolique chrétien emploie le safran ou l’orangé pour représenter la divinité illuminant l’esprit des fidèles; A l'époque médiévale, les jeunes épousées de France revêtaient une robe vermeille. Les moines bouddhistes portent une robe safranée, et les chevaliers du St Esprit une croix en velours ORANGE. L’ORANGE est la couleur des Epicuriens. Il s’associe au plaisir du bien concret du goût de vivre. Il éveille les sensations du corps. Priorité est alors donnée aux plaisirs de la table, au corps, à toutes les sensations fortes. " Voilà un bon résumé de ce que peut faire ma nouvelle couleur préférée....

sábado, agosto 13, 2005

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Cette manière que j'ai de ne pas appartenir à rien! De ne pas me sentir partie de quelque chose! C'est comme une manie subconsciente de me voir comme le "spéctateur" de cette vie autour de moi. J'ai de la misère à m'inclure dans le groupe. Ou peut-être pas de m'inclure mais de me sentir inclue. Je me vois toujours comme une espèce de visite. Comme si finalement je ne fais jamais partie du "tout". Quelqu'un peux m'expliquer ça? Je ne comprends pas vraiment tout ça. Ici, je suis pas comme les autres parce que j'ai grandi ailleurs. La-bàs, je ne suis pas comme les autres parce que mon quotidien est différent et aussi parce que j'ai eu la chance de voir ailleurs. On dirait que, maintenant, je n'appartiendrai plus à rien et je suis destinée à vivre comme ça, avec cette envie d'appartenir, mais avec l'impossibilité de le faire. Et ce n'est pas parce que vous ne voulez pas m'accepter. C'est parce que je ne me sentirais jamais tout à fait chez moi, dans ma vrai "bulle" (comme j'en ai déjà parlé), dans mon "élément", si on veut.

Par manque de mots, je ne peux pas choisir une langue pour exprimer ces pensées folles. Il faudrait, quand même, en choisir une et on dirait que j'ai chosi le français. Pourquoi? Euh, parce que je connais la grammaire! Hahaha! Mais de toute façon je finis toujours par choisir la langue qui semble la meilleure pour exprimer mon état d'âme. Je ne choisis par le français pour toujours parce que parfois j'ai bien le goût d'écrires des obsénités en anglais ou de la poésie en espagnol. Dans le fond, je ne suis pas tenue de «choisir». Je peux bien y aller, justement, avec mon humeur. Voilà.

En commençant la lecture de «Diarios de motocicleta», je crois déjà m'identifier avec ce jeune homme qui se voit, à la fin de son voyage, un homme différent. Et comme ça, en lisant les mots qu'il a écrites, j'éprouve de la difficulté à me concentrer. Mon ésprit commence à explorer cette possibilité de faire comme lui, de laisser tout ce que j'ai, tout ce que je connais (dans le fond cette confortable zone de paix un peu bourgeoise de mauvaises priorités) de côté et partir dans un iconnu, apprendre et peut-être même me retrouver dans toutes cette incertitude. C'est ce que j'avais commencé à penser, et ce bien avant de même connaître l'existence de ce précieux compte rendu de mon "idole".

Il y a quelques années déjà, j'ai commencé a sentir un malaise. Ou peut-être pas un malaise... un... appelons-le "un je-ne-sais-quoi". Hahaha! Peu importe, je sais depuis quelques temps que l'habitude n'est pas quelque chose que j'apprécie. J'aime bien l'inattendu, la surprise, la spontanéité. Voilà, quand je sens que quelque chose devient une habitude, je la fuis. Ne me demandez pas pourquoi ou comment je fais pour faire le même travail depuis un an et demi, je ne pourrais pas vous répondre, il se peut qu'il y ait exeption à la règle. Bon! Donc... j'avais pensé aller vivre ailleurs. Seule. Et toujours, la peur s'empare de moi. Mais elle ne réussi jamais à tuer ce désir de vivre des choses nouvelles. Ma mère l'a fait. Pourquoi est-ce que je n'en serais pas capable moi?

Je regrette devoir vous laisser comme ça, en plein milieu d'une pensée, mais il est déjà 1.46am et dans 4.25heures je dois me lever pour aller faire ce que je n'adore pas faire: travailler.

viernes, agosto 12, 2005

For a mutation of human consciousness

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"You know, there are Italians, Germans, Chileans, there are all sorts of nationalities. As long as we see the world through a single language and through a single nationality, we're restricted.
We have to be of multinational and multilingual. Languages, nationalities and traditions are a prison - we have to free ourselves from them. Countries are like children who must grow up until becoming an only planet. The Basques, Palestinians, Israelis etc... those people who struggle for their own little identification, my God it's... This very civilization is nonsense. We're going to throw it into the trashbins of history. All these restrictions make us choose politicians who suit us well. Nobody believes in politicians anymore. We have to vote for vile people, so do I. They're all as vile as one another. There are gangsters and thieves. Nobody believes in them, or admires them, or likes them. And they would like to make you vote for them, knowing nevertheless that they are the puppets of the economy and that behind it all, there are the bankers. It has to change, it's pitiful. Masks have fallen down. They are the servants of a sick and criminal economy. Each one of them has to give his little ounce of dream to collective consciousness."
as told by Alejandro Jodorowsky to Prism-Escape

domingo, agosto 07, 2005

lost... once again

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Let it die. Get out of my mind.

as i walk through this orange and black world i think. i think about what was and how i never really enjoyed it. i think about what will be and how i want to enjoy it. i also think about what is. am i living? am i enjoying what is? why do i keep thinking about other times...

i feel like not caring. i feel like not having to care. but then i remember... i can't "not care". if i did "not care" i would lose things that are important, things that i don't necesarily appreciate but that i would if i stopped caring for a while and started caring after that.

don't you ever feel bored? bored of the life you have. do you ever notice that what you always do is never really gratifing? do you ever feel you could do more? more for the world, more for you, more, more, more... is it really lack of motivation? is it really the beginning of depression? i don't think so. you see, i think lack of motivation does not necessarily lead to depression, i think that some people are happy by not being motivated. and i have an example for that. you're not depressed because you're not motivated. it's mean to say that. and i haven't lost my motivation. i'm just not sure exactly what it is.

should i read more? yes. should i listen more? yes. should i stop believing that i am invisible? yes... cause i'm not. should i do something to stop my own putrefaction? hell yes! should i stop being scared? no. but should i stop not doing things because i'm scared? yes, definetly.

motivation... i have it. just hope i get accepted to school, that would be the beginning of the solution to this problem.

jueves, agosto 04, 2005

...

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Je comprends pas... Sometimes people just don't get it. You can say it a million times, in a million ways but they'll never get it. It just makes me so mad! It always the same thing! "You're making me go CRAZY!!!"

Ok... enough of that....

I went to the Cegep to submit the application. Portfolio pix were good. Letter a bit less. I'm soooooooo nervous about it! I should be getting news by the end of next week... I'm gonna go crazy waiting like this...
You know I'm not the praying kind, but please pray with me so I can get accepted... Please! I need all the good vibes I can get!

Mel is sleeping... hehehe

lunes, agosto 01, 2005

Cath

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Que dire sur la belle Catherine? Te bin fine je trouve... hehehe tu vois pas capable d'ecrire la! Je m'ennuie deja Cath! Ca va faire mal samedi quand on va realiser que, vraiment, tu n'est plus la... Je t'aime!

viernes, julio 29, 2005

The Widow

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He’s got fasting black lungs
Made of clove splintered shardes
They’re the kind that will talk
Through a weezing of coughs
And I hear him every night
In every pore
And every time he just makes me warm

Freeze without an answer
Free from all the shame
Must I hide
Cuz I’ll never never sleep alone

Look at how they flock to him
From an isle of open sores
He knows that the taste is such
Such to die for
And I hear him every night
On every street
The scales that do slither
Deliver me from....

Freeze without an answer
Free from all the shame
Then I’ll hide

Cuz i’ll never never sleep alone

Said I’m bloodshot for sure
Pale runs the ghost
Swollen on the shore
everynight
in every pore
The scales that do slither
Deliver me from…

Freeze without an answer
Free from all the shame
Then I’ll hide
Cuz I’ll never never sleep alone

Freeze without an answer
Free from all the shame
Let Me Die
Cuz I’ll never never sleep alone

jueves, julio 28, 2005

blablabla

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Ok. So the makeover is done. Best seen in 1024 by 768 screen resolution... if not you might not see the whole gun. And should have Office installed or you might not see the font... Sorry, still not very good at this.

Anyway, why did I choose the gun? Because it represents the violence we're trying to get away from, all of us... but whatever, I'm not gonna start lecturing on morality so don't worry.

Oh and I removed the links of people who do not post "assez souvent"... I still love ya tho... hehehe


Je dois m'inscrire à l'école cette semaine... envoyez moi des ondes positives S.V.P!

Et Cath, je t'aime, tu est une de mes préférées. Je sais pas ce que je vais faire sans toi à la job... :'( Serieusement, tu est vraiment TROP cool. Oublie pas! On doit aller magasiner là! ah oui et... merci pour la tasse... it really means a lot.

Bonne nuit.

jueves, julio 21, 2005

Makeover???

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Ok... This blog will get a makeover... soon... so no more blood and no more "mi propia cruz" cuz i ain't livin in hell... life is just as boring but shouldn't be taking it as the end of the world... fuck it... appreciate man!... too much drama...

so yeah... that's it...

miércoles, julio 20, 2005

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Why am I here? What do I have to do? What do i want to do? I'm lost once again... That is all.

lunes, julio 11, 2005

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Enfin, me croyez-vous maintenant quand je vous dis que le ciel est orange?

sábado, julio 09, 2005

Tomas Alvaro Benjamin Sanchez Cayupan, mi primer sobrino

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En la madrugada, conociste la vida. El 8 de julio llevara tu nombre. Y aun no sabes cuanta alegria con un poco de nostalgia me has hecho sentir. Cuanto quisiera estar ahy contigo, Tomas.

viernes, julio 08, 2005

Meme Testigo Musical

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* Testigo recibido de: Se lo saqué a mi primito, el Gonza (ya que no tenia nada mas que hacer)

* Tamaño total de los archivos de música en mi PC: En el PC, son 4,54GB. En el iPod, son 2,54GB... y sin contar las weas q grabé en discos cuando reformatié esta cuestion (eran como 7GB).

* Último disco que me compré: Weno ya saben me he vuelto loca con esto de comprar musica... después de haber pasado los ultimos... +/- 7 años sin comprar NADA, recuperé el tiempo perdido... to answer the question: Los dos de Gotan Project(mh... IMPORT sale carisimo!) pero en realidad compré los discos de Lucybell (por fin) pero no los he recibido todavia (gracias Amazon)

* Canción que estoy escuchando ahora: Tres y Dos de Anibal Troila (Gotan Project)

* 5 canciones que escucho un montón o que tienen algún significado para mi: This apparatus must be unearthed de Mars Volta, Inertiatic de Mars Volta, Oh Johnny de Mr Vegas, Demon Days de Gorillaz (si, si el disco entero... es q es muy weeeeeno!) y hartas canciones de Lucybell. ap y Underwater Love de Smoke City!! tb me gusta primo.

* 5 personas a las que les paso el testigo: mmm... tendria que traducirlo... pero ya me dio tuto...

martes, julio 05, 2005

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Hoy fui a ver a un gran musico argentino... Federico Aubele. La foto no salio muy bien, ya que no teniamos derecho de sacar fotos o de filmar el show... pero bueno es lo que hay. Gracias al Festival de Jazz de Montreal por traer a tan buenos musicos.
Javi!

sábado, julio 02, 2005

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Feliz cumpleaños Gonzalito lindo. Espero que la pasi bakan, a pesar del resfrio, jejeje. Te quiero mucho primo. BESOTES!!!!!!!
Javi!

martes, junio 21, 2005

Mona

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ME PASÉ EL RESTO DEL DIA CAMINANDO POR LOS MUELLES INVENTANDOME UNA HISTORIA DE MONA, DONDE ELLA SE HABIA ESCAPADO EN BUSCA DEL GRAN CAÑON YA QUE LOS MEROS ACANTILADOS PAKISTANIES NO ERAN DIGNOS DE ELLA.

EN SAN FRANCISCO SE HABIA PROSTITUIDO PARA NO DEPENDER DE SUS PADRES. NO ERA UNA CALLEJERA, SE ENTIENDE. COBRABA AUTENTICAS FORTUNAS POR PASEARSE DEL BRAZO, EN CAMPOS DE GOLF, CON MADUROS DUEÑOS DE INMOBILIARIA. POR CIEN DOLLARES EXTRA LES CONTABA UN CHISTE PUERCO. POR QUINIENTOS, JUGABA DESNUDA AL BADMINTON CON ELLOS. DURANTE LA SEMANA ESTUDIABA HISTORIA. LLEVABA UN ELEGANTE JOGGING DE UNIVERSITY OF KARACHI. ESTA SITUACION, POR DECIR LO MENOS, EQUIVOCA, LLEGABA A SU FIN CUANDO MONA HARTA DE LA VULGARIDAD CALIFORNIANA, EN BUSCA DE ALIMENTOS MAS ESPIRITUALES, TOMABA EL AVION RUMBO A PARIS.

ERA NOTABLE QUE HACIA TODO, LAS GANZADAS QUE UN ADULTO NORMAL PUEDA PENSAR SIN SONROJARSE. DE TODAS FORMAS, AHORA TAMPOCO ENCONTRABA MONA LA ESPERADA SALVACION Y AHI ESTABA LO PICANTE O LO... TRAGICO, PARA USAR PALABRAS DE MI HIJO.

Fragmento de "El Futuro" de Gonzalo Garcés leido por el mismo autor en el GRANHOTELBUENOSAIRES de Aubele en el tema "Mona".
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“Yo no valgo por lo que digo. Yo no valgo por lo que he renunciado. Yo no valgo por lo que soy ni por lo que tengo. Yo tengo una sola cosa que vale, la tengo en mi corazón, me quema en el alma, me duele en mi carne y arde en mi puño: es el amor de este pueblo.”

Eva Perón en El Amor de este pueblo de Federico Aubele.

P-S: Federico Aubele estará en el Club Soda de Montreal el 4 de julio gracias a nuestro querido Festival Internacional de Jazz. Yo también estaré, jejeje. Asi que nos vemos ahi.

jueves, junio 16, 2005

Untitled

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Virginie. Ça faisait longtemps qu'on s'était vues. Un an? Ouais. C'était cool ce soir avec toi... et bonne chance avec Manuel... Miguel, hehehehe. Tu auras la chance de pratiquer ton español! Té cool et je t'aime!

La vie c'est plein de choses. Plein de chances. Plein d'expériences. J'espère que chacun vivra sa vie au maximum. J'espère que moi aussi. Alors on fera la fête... faut en profiter pendant qu'on n'a que vignt ans. Wow! Deux décénies! C'est fou comment le temps passe vite. La vitesse. L'immobilité c'est le sourire de la vitesse. Ça sourit pas beaucoup la vitesse dernièrement. Tout passe vite. On n'a pas vraiment le temps d'en profiter. Je vous dit, moi, prennez le temps de profiter de ce sourire. Même s'il ne dure pas longtemps. Profitez-en. Je m'éfforcerai de vous apporter ce sourire, à vous qui partagez le quotidien avec moi. Et surtout ne vous plaignez pas de ma bonne humeur! :P Bonne nuit à tous... si vous lisez ceci c'est parce que je vous aime.

P-S: J'ai encore 0 commentaires...