sábado, mayo 28, 2005

It's just another day

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Yup... Just another day in this boring life of mine...

Feelings are way too fucked up. Can't seem to tune into one normal state... Happy, sad, mad... whatever... I guessed boredom has conquered.

I did decide to stop downloading music. It's better that way. Musicians do that for a living. Yeah they get lots of money for doin what they do but if you really like em - or even if you just like ONE song - you should encourage their work. I mean if I ever get to be a good photographer I would like it if people bought my pictures. That way I could eat and buy music. LOL Oh and buy the oh-so-expensive equipment!

What else do I feel like saying today?

Well it's Friday night and i'm here. Which is so totally pathetic... And tomorrow at this time where will I be? Here! Pathetic. Sleep, eat, work. Pathetic.

Friends suck! Where are they when you need em? Having FUN of course! They're no good. Exept for Jenny. She's always there when you need her. Always there to make me laugh. Jen thank you for being the bestest of friends. I miss you. Wish you were here!

Ok this is the end now... But I'll just leave you with this last quote I saw in a magazine:
"Always remember you are unique. Just like everyone else."

P-S: You are welcome to leave comments man!!! You guys just come and read and NEVER ever leave comments!!!

sábado, mayo 21, 2005

Mar adentro... Una pelicula preciosa

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Mar adentro, mar adentro,
y en la ingravidez del fondo
donde se cumplen los sueños,
se juntan dos voluntades
para cumplir un deseo.

Un beso enciende la vida
con un relámpago y un trueno,
y en una metamorfosis
mi cuerpo no es ya mi cuerpo;
es como penetrar al centro del universo:

El abrazo más pueril,
y el más puro de los besos,
hasta vernos reducidos
en un único deseo:

Tu mirada y mi mirada
como un eco repitiendo, sin palabras:
más adentro, más adentro,
hasta el más allá del todo
por la sangre y por los huesos.

Pero me despierto siempre
y siempre quiero estar muerto
para seguir con mi boca
enredada en tus cabellos.

Ramón Sampedro

viernes, mayo 20, 2005

Javi!

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Con olor a cigarro en los dedos y sabor a vino en los labios
Te quise

Y con el dolor de mi espalda y el cansansio de mis pies
Te siento

Los ojos secos, las manos mojadas
Se me cae mi mundo, pero estás
Ya no siento calor, ni frio
No pienso, me río

Y te quiero.

domingo, mayo 15, 2005

Il n'y a plus rien

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Écoute, écoute...
Dans le silence de la mer, il y a comme un balancement maudit qui vous

met le coeur à l'heure, avec le sable qui remonte un peu, comme les
vieilles putes qui remontent leur peau, qui tirent la couverture.

Immobille... L'immobilité, ça dérange le siècle.
C'est un peu le sourire de la vitesse, et ça sourit pas lerche, la vitesse, en

ces temps.
Les amants de la mer s'en vont en Bretagne ou à Tahiti...
C'est vraiment con, les amants.

Il n'y a plus rien

Camarade maudit, camarade misère...
Misère, c'était le nom de ma chienne qui n'avait que trois pattes.
L'autre, le destin la lui avait mise de côté pour les olympiades de la bouffe

et des culs semestriels qu'elle accrochait dans le buissons pour y aller de sa progéniture.
Elle est partie, Misère, dans des chaos, quelque part dans la nuit des

chiens.
Camarade tranquile, camarade prospère,
Quand tu rentreras chez toi
Pourquoi chez toi?
Quand tu rentreras dans ta boîte, rue d'Alésia ou du Faubourg
Si tu trouves quelqu'un qui dort dans ton lit,
Si tu y trouves quelqu'un qui dort
Alors vas-t-en, dans le matin clairet
Seul
Te marie pas
Si c'est ta femme qui est là, reveille-la de sa mort imagée

Fous lui une baffe, comme à une qui aurait une syncope ou une crise de nerfs...
Tu pourras lui dire: "Dis t'as pas honte de t'assumer comme ça dans ta liquide sénescence.
Dis t'as pas honte? Alors qu'il y a quatre-vingt-dix mille espèces de fleurs?
Espèce de conne!"
Et barre-toi!
Divorce-la
Te marie pas!
Tu peux tout faire:
T'empaqueter dans le désordre, pour l'honneur, pour la conservation du titre...

Le désordre, c'est l'ordre moins le pouvoir!

Il n'y a plus rien

Je suis un nègre blanc qui mange du cirage
Parce qu'il se fait chier à être blanc, ce nègre.
Il en a marre qu'on lui dise: "Sale blanc!"

À Marseille, la sardine qui bouche le port
Était bourée d'héroine
Et les hommes-grenouilles n'en sont pas revenus...
Libérez les sardines
Et y'aura plus de mareyeurs!

Si tu savais ce que je sais
On te montrerait du doigt dans la rue
Alors il vaut mieux que tu ne saches rien
Comme ça, au moins, tu es peinard, anonyme, Citoyen!

Tu as droit, Citoyen, au minimum décent
À la publicité des enzymes et du charme
Au traffic des dollars et aux traficants d'armes
Qui traînent les journaux dans la boue et le sang
Tu as droit à ce bruit de la mer qui descend
Et si tu veux la prendre elle te fera du charme
Avec le vent au cul et des sextants d'alarme
Et la mer reviendra sans toi si tu est méchant

Les mots... toujours les mots, bien sûr!
Citoyens! Aux armes!
Aux pépées, Citoyens! À l'amour, Citoyens!
Nous entrerons dans la carrière quand nous aurons cassé la gueule à nos ainés!
Les préfectures sont des monuments en airain... un coup d'aile d'oiseau ne les entame même pas...

C'est vous dire!

Nous ne sommes même plus des juifs allemands
Nous ne sommes plus rien

Il n'y a plus rien

Des futals bien coupés sur lesquels lorgnent les gosses; certes!
Des poitrines occupées
Des ventres vacants
Arrange-toi avec ça!

Le sourire de ceux qui font chauffer leur gamelle sur les plages reconverties et démoustiquées
C'est-à-dire en enfer, là où Dieu met ses lunettes noires pour ne pas risquer d'être reconnu par ses admirateurs
Dieu est une idole, aussi!
Sous le pavés il n'y a plus la plage
Il y a l'enfer et la Sécurité
Notre vraie vie n'est pas ailleurs, elle est ici
Nous sommes au monde, on nous l'a assez dit
N'en déplaise à la litterature

Les mots, nous leur mettons des masques, un bâillon sur la tronche
À l'encyclopédie, les mots!
Et nous partons avec nos cris!
Et voilà!

Il n'y plus rien... plus, plus rien

Je suis un chien?
Perhaps!
Je suis un rat
Rien
Avec le coeur battant jusqu'à la dernière battue

Nous arrivons avec nos acessoires pour faire le ménage dans la tête des gens:
"Apprends donc à te coucher tout nu!"
"Fous en l'air tes pantouffles!"
"Renverse tes chaises!"
"Mange debout!"
Assois-toi sur des tonnes d'inconvénances et montre toi à la fenêtre en gueulant des gueulantes de principe!

Si jamais tu t'apperçois que ta révolte s'encroûte et deviens une habituelle révolte, alors,
Sors
Marche
Crève
Baise
Aime enfin les arbres, les bêtes et détourne-toi du conforme et de l'inconforme
Lâche ces notions, si ce sont des notions
Rien ne vaut la peine de rien

Il n'y plus rien.. plus, plus rien

Invente des formules de nuit: CLN... C'est la nuit!
Même au soleil, surtout au soleil, c'est la nuit
Tu peux crever... Les gens ne retiendront même pas une de leurs inspirations.
Ils canaliseront sur toi leur air vicié en des regrets éternels puant le certificat d'études et le cathéchisme ombilical.
C'est vraiment dégueulasse
Ils te tairont, les gens.
Les gens taisent l'autre, toujours.
Regarde, à table, quand ils mangent... Ils s'engouffrent dans l'innomé
Ils se dépassent eux-mêmes et s'en vont vers l'ordure et rot ponctuel!

La ponctuation de l'absurde, c'est bien ce renversement des réacteurs abdominaux, comme à l'atterissage: on rote et on arrête le massacre.
Sur les pistes de l'incoscient, il y a des balises baveuses toujours un peu se souvenant du frichti, de l'organe, du repu.

Mes plus beaux souvenirs sont d'une autre planète
Où les bouchers vendaient l'homme à la criée

Moi, je suis de la race ferroviaire qui regarde passer les vaches
Si on ne mangeait pas les vaches, les moutons et les restes
Nous ne connaîtrions ni les vaches, ni les moutons, ni les restes...
Au bout du compte, on nous élève pour nous becqueter
Alors, becquetons!
Côte à l'os pour deux personnes, tu connais?

Heureusement il y a le lit: un parking!
Tu viens, mon amour?
Et puis, c'est comme à la roulette: on mise, on mise...
Si la roulette n'avait qu'un trou, on nous ferait miser quand même
D'ailleurs, c'est ce qu'on fait!
Je comprends les joueurs: ils ont trente-cinq chances de ne pas se faire mettre...
Et ils mettent, ils mettent..
Le drame, dans le couple, c'est qu'on est deux
Et il n'y a qu'un trou dans la roulette...

Quand je vois un couple dans la rue, je change de trottoir

Te marie pas
Ne vote pas
Sinon t'es coincé

Elle était belle comme la Révolte
Nous l'avions dans les yeux, dans les bras dans nos futals
Elle s'appelait l'imagination
Elle dormait comme une morte, elle était comme morte
Elle sommeillait
On l'enterra de mémoire

Dans le cocktail Molotov, il faut mettre du Martini, mon petit!
Transbahutez vos idées comme de la drogue...

Tu risques rien à la frontière
Rien dans les mains
Rien dans les poches

Tout dans la tronche!

-Vous n'avez rien à déclarer?
-Non.
-Comment vous nommez-vous?
-Karl Marx.
-Allez, passez!

Nous partîmes... Nous étions une poignée...
Nous nous retrouverons bientôt démunis, seuls, avec nos projets dans le passé
Écoutez-les... Écoutez-les...
Ça rape comme le vin nouveau
Nous partîmes... Nous étions une poignée
Bientôt ça débordera sur les trottoirs
La parlotte ça n'est pas un détonateur suffisant
Le silence armé, c'est bien, mais il faut bien fermer sa gueule...
Toutes des concierges!
Écoutez-les...

Il n'y plus rien

Si les mort se levaient?
Hein?

Nous étions combien?
Ça ira!
La tristesse, toujours la tristesse...

Ils chantaient, ils chantaient...
Dans les rues...

Te marie pas

Ceux de San Francisco, de Paris, de Milan
Et ceux de Mexico
Bras dessus bras dessous
Bien accrochés au rêve

Ne vote pas

Ô DC8 des Pélicans
Cigognes qui partent à l'heure
Labrador lèvre des bisons j'invente en bas des rennes bleus
En habit rouge du couchant
Je vais à l'Ouest de ma mémoire
Vers la Clarté vers la Clarté

Je m'éclaire la Nuit dans le noir de mes nerfs
Dans l'or de mes cheveux j'ai mis cent mille watts
Des circuits sont en panne dans le fond de ma viande
J'imagine le téléphone dans une lande
Celle où nous nous voyons moi et moi
Dans cette brume obscène au crépuscule teint
Je ne suis qu'un voyant embarrassé de signes
Mes circuits déconnectent
Je ne suis qu'un binaire

Mon fils, il faut lever le camp comme lève la pâte
Il est tôt Lève-toi
Prends du vin pour la route
Dégaine-toi du rêve anxieux des biens assis
Roule Roule mon fils vers l'étoile idéale
Tu te rencontreras Tu te reconnaîtras
Ton dessin devant toi, tu rentreras dedans
La mue ça se fait à l'envers dans ce monde inventif
Tu reprendras ta voix de fille et chanteras Demain
Retourne tes yeux au-dedans de toi
Quand tu auras passé le mur du mur
Quand tu auras outrepassé ta vision
Alors tu verras "rien"

Il n'y a plus rien

Que les pères et les mères
Que ceux qui t'ont fait
Que ceux qui ont fait tous les autres
Que les "monsieur"
Que les "madame"
Que les "assis" dans les velours glacés, soumis, mollasses
Que ces horribles magasins roulants
Qui portent tout en devanture
Tous ceux-là à qui tu pourras dire :

Monsieur !
Madame !

Laissez donc ces gens-là tranquilles
Ces courbettes imaginées que vous leur inventez
Ces désespoirs soumis
Toute cette tristesse qui se lève le matin à heure fixe pour aller gagner VOS sous,
Avec les poumons resserrés
Les mains grandies par l'outrage et les bonnes moeurs
Les yeux défaits par les veilles soucieuses...
Et vous comptez vos sous ?
Pardon.... LEURS sous !

Ce qui vous déshonore
C'est la propreté administrative, écologique dont vous tirez orgueil
Dans vos salles de bains climatisées
Dans vos bidets déserts
En vos miroirs menteurs...

Vous faites mentir les miroirs
Vous êtes puissants au point de vous refléter tels que vous êtes
Cravatés
Envisonnés
Empapaoutés de morgue et d'ennui dans l'eau verte qui descend des montagnes et que vous vous êtes arrangés pour soumettre
A un point donné
A heure fixe
Pour vos narcissiques partouzes.
Vous vous regardez et vous ne pouvez même plus vous reconnaître
Tellement vous êtes beaux
Et vous comptez vos sous
En long
En large
En marge
De ces salaires que vous lâchez avec précision
Avec parcimonie
J'allais dire "en douce" comme ces aquilons avant-coureurs et qui racontent les exploits du bol alimentaire, avec cet apparat vengeur et nivellateur qui empêche toute identification...
Je veux dire que pour exploiter votre prochain, vous êtes les champions de l'anonymat.

Les révolutions? Parlons-en!
Je veux parler des révolutions qu'on peut encore montrer
Parce qu'elles vous servent,
Parce qu'elles vous ont toujours servis,
Ces révolutions de "l'histoire",
Parce que les "histoires" ça vous amuse, avant de vous interesser,
Et quand ça vous intéresse, il est trop tard, on vous dit qu'il s'en prépare une autre.
Lorsque quelque chose d'inédit vous choque et vous gêne,
Vous vous arrangez la veille, toujours la veille, pour retenir une place
Dans un palace d'exilés, entouré du prestige des déracinés.
Les racines profondes de ce pays, c'est Vous, paraît-il,
Et quand on vous transbahute d'un "désordre de la rue", comme vous dites, à un "ordre nouveau" comme ils disent, vous vous faites greffer au retour et on vous salue.

Depuis deux cent ans, vous prenez des billets pour les révolutions.
Vous seriez même tentés d'y apporter votre petit panier,
Pour n'en pas perdre une miette, n'est-ce-pas ?
Et les "vauriens" qui vous amusent, ces "vauriens" qui vous dérangent aussi, on les enveloppe dans un fait divers pendant que vous enveloppez les "vôtres" dans un drapeau.
Vous vous croyez toujours, vous autres, dans un haras!
La race ça vous tient debout dans ce monde que vous avez assis.
Vous avez le style du pouvoir
Vous en arrivez même à vous parler à vous-mêmes
Comme si vous parliez à vos subordonnés,
De peur de quitter votre stature, vos boursouflures, de peur qu'on vous montre du doigt, dans les corridors de l'ennui, et qu'on se dise : "Tiens, il baisse, il va finir par se plier, par ramper"
Soyez tranquilles !
Pour la reptation, vous êtes imbattables ; seulement, vous ne vous la concédez que dans la métaphore... Vous voulez bien vous allonger mais avec de l'allure,
Cette "allure" que vous portez, Monsieur, à votre boutonnière,
Et quand on sait ce qu'a pu vous coûter de silences aigres,
De renvois mal aiguillés
De demi-sourires séchés comme des larmes,
Ce ruban malheureux et rouge comme la honte dont vous ne vous êtes jamais décidé à empourprer votre visage,
Je me demande comment la Nature met
Tant d'entêtement,
Tant d'adresse
Et tant d'indifférence biologique
A faire que vos fils ressemblent à ce point à leurs pères,
Depuis les jupes de vos femmes matrimoniaires
Jusqu'aux salonnardes équivoques où vous les dressez à boire,
Dans votre grand monde,
A la coupe des bien-pensants.

Moi, je suis un bâtard.
Nous sommes tous des bâtards.
Ce qui nous sépare, aujourd'hui, c'est que votre bâtardise à vous est sanctionnée par le code civil Sur lequel, avec votre permission, je me plais à cracher, avant de prendre congé.
Soyez tranquilles, vous ne risquez Rien

Il n'y a plus rien

Et ce rien, on vous le laisse!
Foutez-vous en jusque-là, si vous pouvez,
Nous, on peut pas.
Un jour, dans dix mille ans,
Quand vous ne serez plus là,
Nous aurons TOUT
Rien de vous
Tout de nous
Nous aurons eu le temps d'inventer la Vie, la Beauté, la Jeunesse,
Les Larmes qui brilleront comme des émeraudes dans les yeux des filles,
Les bêtes enfin détraquées,
La priorité à Gauche, permettez!

Nous ne mourrons plus de rien
Nous vivrons de tout
Et les microbes de la connerie que nous n'aurez pas manqué de nous léguer, montant de vos fumures
De vos livres engrangés dans vos silothèques
De vos documents publics
De vos réglements d'administration pénitenciaire
De vos décrets
De vos prières, même,

Tous ces microbes juridico-pantoufles
Soyez tranquilles,
Nous aurons déjà des machines pour les révoquer

NOUS AURONS TOUT
Dans dix mille ans.

Léo Ferré

sábado, mayo 14, 2005

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Roy Lichtenstein - Thinking of him
Javi!

viernes, mayo 13, 2005

Confianzas

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Se sienta a la mesa y escribe:
Con este poema no tomarás el poder, dice
Con estos versos no harás la revolución, dice
Ni con miles de versos harás la revoluci­ón, dice

Y mas: esos versos no han de servirle para que
Peones, maestros, hacheros vivan mejor, coman mejor
O el mismo coma, viva mejor
Ni para enamorar a hombres servirán

No ganará plata con ellos
No entrará al cine gratis con ellos
No le darán ropa por ellos
No conseguirá tabaco o vino por ellos
Ni papagayos, ni bufandas, ni barcos
Ni toros, ni paraguas conseguirá por ellos
Si por ellos fuera la lluvia lo mojará
No alcanzará perdón o gracia por ellos

Con este poema no tomar­ás el poder, dice
Con estos versos no harás la revolución, dice
Ni con miles de versos harás la revolución, dice
Se sienta a la mesa y escribe


Juan Gelman
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How can something so beautiful taste so bad?
Javi!

miércoles, mayo 11, 2005

...

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Après si longtemps la vie continue. On se sent mort. On ne se sent plus. Comment faire? Comment faire pour continuer.

Vas-t-en! Je ne veux pas te voir! Tu me fais mal. Non... reviens, je t'aime... Sors d'ici! Je ne peux plus te voir. Mais où étais-tu passé? Pourquoi m'as tu laissée? Je n'ai plus besoin de toi... et toi de moi. Comment fais-tu? Comment fais-je...

Je ne peux pas... oui je peux... c'est la mort. Je ne sais plus respirer. J'agonise... Je vis. J'oublie. Tu me manques. Comment vas-tu?

martes, mayo 10, 2005

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C'est fini... Depuis samedi, c'est fini. Je me sens pas bien. Je me sens vide. Je me sens... je ne sais plus...
Javi!

jueves, mayo 05, 2005

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Javi!

martes, mayo 03, 2005

Miss you

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Changes are coming and I miss you. I feel that you won't be here to go through em all with me. I feel that soon you'll be out of my life... And I'll only miss you.

My life in front of me, I miss you. What once was a strong feeling is now gone... Uncertainty has replaced it. But I miss you. Can't imagine being without you, I miss you.

You have to leave... No, I have to leave. But I will still miss you.

domingo, mayo 01, 2005

Decisions, decisions

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It's hard to make a decision... A real one. I can't seem to get my mind straight. Either way... no matter what I decide I'll feel lousy. It's just that, as a human being, I'm always a little scared of change... I guess...