miércoles, diciembre 28, 2005

Me voy a Tar

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Había una vez, hace mucho tiempo, una ciudad maravillosa llamada TAR.
En esa época todas las ciudades estaban intactas, no se veían ruinas, porque la guerra final aún no había estallado.
Cuando sucedió la grán catástrofe desaparecieron todas las ciudades. Menos TAR. Tar existe aún, si sabes buscarla la encontrarás.

Y cuando llegues a Tar, la gente te traerá vino y soda, y podrás jugar con una caja de música que tiene manivela.
Cuando llegues a Tar, ayudarás en la vendimia y recogerás al escorpión que se oculta bajo la piedra blanca.
Cuando llegues a Tar, conocerás la eternidad y verás al pájaro que cada cien años bebe una gota de agua del océano.
Caundo llegues a Tar, comprenderás la vida, serás gato y fenix, cisne y elefante, niño y anciano, y estarás solo y acompañado, amarás y serás amado, y estarás aquí y allá, y poseerás el sello de los sellos.

Y a medida que caigas hacia el porvenir, sentirás que el extasis te posse... para ya no dejarte más.

Il était une fois, il y a très longtemps, une merveilleuse cité appellée TAR.
Dans cette époque, toutes les cités étaient intactes, on ne voyait pas de ruines, parce que la guerre finale n'avait pas encore éclaté.
Lors de la grande catastrophe, toutes les cités ont disparu. Sauf TAR. Tar existe encore, si tu sais la chercher, tu la trouveras.

Et quand tu arrives à Tar, les gens t'apporteront du vin et du soda, et pourras jouer avec une boîte de musique avec une manivelle.
Quand tu arrives à Tar, t'aideras dans la vendange et tu ramasseras le scorpion qui se cache sous la roche blanche.
Quand tu arrives à Tar, tu connaîteras l'éternité et tu verras l'oiseau qui boit chaque année une goutte de l'océan.
Quand tu arrives à Tar, tu comprendreras la vie, tu sera chat et phoenix, cygne et elephant, enfant et vieillard, et tu seras seul et acompagné, tu aimeras et seras aimé, et tu seras ici et là, et tu posederas le cachet des cachets.

Et au fur et à mesure que tu tombes dans l'avenir, tu sentiras que l'extase te posède... pour ne plus jamais te laisser.

domingo, diciembre 25, 2005

Uno

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Uno busca lleno de esperanzas
el camino que los sueños
prometieron a sus ansias,
sabe que la lucha es cruel y es mucha,
pero lucha y se desangra
por la fe que lo empecina.

Uno va arrastrándose entre espinas
y en su afán de dar su amor
sufre y de destroza hasta entender
que uno se ha quedado sin corazón,
precio de castigo que uno entrega
por un beso que no llega
o un amor que lo angañó,
vacío ya de amor y de llorar
tanta traicion...

Si yo tuviera el corazón,
el corazón que di,
si yo pudirra, como ayer
querer sin presentir,
es posible que a tus ojos
que hoy me gritan su cariño
los cerrara con mis besos,
otros ojos, los perversos,
los que hundieron mi vivir...

Si yo tuviera el corazón,
el mismo que perdi,
si olvidara a la que ayer
lo destrozó y pudiera amarte...
me abrazaría a tu ilusión
para llorar tu amor.

Pero Dios te trajo a mi destino
sin pensar que ya es muy tarde
y no sabré cómo quererte,
déjame que llore c­ómo aquel
que dufre en vida la tortura
de llorar su propia muerte.
Pura como sos, habrías salvado
mi esperanza con tu amor.
Uno está tan solo en su dolor,
uno está tan ciego en su penar,
pero un frío cruel, que es pero que el odio,
punto muerto de las almas,
tumba horrenda de mi amor,
maldijo para siempre y me rob­o
toda ilusión.

SI YO TUVIERA EL CORAZÓN...


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TE QUIERO MUCHO ABUELITA! FELIZ NAVIDAD A TODOS!

domingo, diciembre 18, 2005

Jeteur de pierres

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S'établir dans une contrée, en devenir résident,
Se l'approprier et y expulser ses habitants
Misérables gens, soumis par droit de conquête
Et placés sous dépendance politique du conquérant
quête dominatrice, à la recherche d'un état,
Voilà le résultat d'une puissance colonisatrice
Aidés de l'Occident, ils ont tué et chassé, s'y justifient
Ces terres sacrées par présence d'antécédents
Qui parle d'occupation, parle de résistance
Qui parle de colonisation, parle forcément d'indépendance
Danse, entre 2 feux, danse dans une salle
Ou danse entre les balles pour esquiver un couvre-feu
Des animaux courent dans des champs, des hommes sont libres
Des animaux sont dans des cages et des hommes sont dans des camps
Vivre comme on l'entend, clôturé dans un enclot
Liberté pas pour le moment, Oslo est tombé a l'eau
Sanglots, cette vie fait reup
J'écris et crie, juste le combat d'un peuple qui se bat pour sa patrie
L'Amérique s'est battue pour avoir son indépendance
Les résistants face aux Allemands, pour pouvoir libérer la France
Tunisiens et Algériens, eux-mêmes en ont fait autant
Donc les Palestiniens veulent un état au Proche Orient
Et c'est ça le blème, toi tu parles de fanatisme
Mais le conflit ne se résume pas qu'a d' l'antisémitisme
Laxiste, le monde laisse faire et s' défile
Pendant qu' tu tues des civils et les appelles terroristes
On fait mine d'être concerné mais dans le fond on s'en fout
Regardez sans être outré, tant qu' ça n'arrive pas à nous

Jeteur de pierre, le monde sait qu' ton pays est en guerre
Pas d'aide humanitaire, vu qu' les colons te volent tes terres
Et c'est triste, toujours la même morale,
Les mêmes balles, le même mal, la même spirale

J' te re-situe le contexte
Pour comprendre faut reprendre les choses à la base même du problème
Ca dure depuis des siècles, terres convoitées,
Nombreuses ont été les conquêtes
Différentes religions, différentes communautés,
Pour tout un lieu saint chargé d'histoires
L'ironie du sort, il en a vu couler du sang
Jusqu'aux événements les plus récents,
Le territoire a peu connu la paix,
Comprend qu' c'est un peu dur d'y croire
Pour tous les frères, les jeunes de mon âge,
Qui ont grandi dans cette atmosphère
Et qui ont vu ça toute leur vieLes mains nues,
face à une armée prête à ré-ti
S' faire dynamiter s'apparente à d'la résistance
Quoi qu'il arrive, c'est toujours des civils qui morflent
Et les morts ne se comptent plus
On a tous vu la même chose aux infos:
Des balles contre des pierres jetées par des enfants
J'invente rien, les faits parlent d'eux-mêmes,
Dans les 2 camps y a des extrêmes
Faut pas tout confondre
Contredis les sionistes et tu passes pour un antisémite en 2 secondes
C'est l'oppresseur qui prend le rôle de la victime
C'est l'art de "la faire à l'envers" et pour eux elle est belle
Depuis qu'Israël a obtenu son indépendance, ça s'envenime,
La spirale fatale du conflit commence
L'état arabe promis par l'ONU ne sera pas,
S'en suivra la guerre des 6 jours Sabra Ichatillah
Première Intifada, la révolution des pierres,
Massacres sur massacres, périodes meurtrières
Et de nos jours, on peut pas dire que ça va en s'arrangeant
Sujet tabou et dérangeant, j' me devait d'être clair
Issus d' la même famille: enfants d'Ismaël et d'Israël sont des cousins,
Mais trop de gens oublient qu' les juifs du Maghreb
Ont longtemps vécu en harmonie avec les musulmans,
Certains y vivent encore aujourd'hui

Jeteur de pierre, le monde sait qu' ton pays est en guerre
Pas d'aide humanitaire, vu qu' les colons te volent tes terres
Et c'est triste, toujours la même morale,
Les mêmes balles, le même mal, la même spirale

Le mensonge est l'arme de l'intelligent
Les médias l'ont compris,
Se l'approprient et l'utilisent à tes dépens
On parle de leurs bienfaits mais jamais de leurs défauts
Injectent leurs carottes en sachets et jouent avec nos cerveaux
Ils parlent de parents qui envoient leurs enfants au combat
Mais pourquoi? Pour faire passer ces gens pour des sauvages
Tu ferais quoi si on avait tué ton père, détruit ton toit?
J' parle pour moi, ou hak Allah j'aurais envie d' faire un carnage
Haine pour haine, balles perdues et plus
Palestiniens dans les rues, Israéliens dans des bus
Le mal par le mal, venger les tiens,
Tu n' peux plus rien enlever à ceux qui n'ont plus rien
Plus d'accord de paix, ni de cessez-le-feu
Rien qu' ça cogne, ça c'est la politique de Sharon
Ariel, comme la lessive, noir de sentiments,
Blanchi par les médias et les States comme adoucissant
Dans ce coin du monde, où la paix reste difficile à défendre
Israk Rabbin en a fait les frais et s'est fait descendre
Malheureusement, on peut pas revenir en arrière
Les rendez-vous manqués de l'histoire n'ont fait que remuer la merde
Comme si c'était prémédité, processus de paix qui foirent
Et toujours des territoires occupés, des blindés qui tirent,
Des gosses qui jouent sur des mines
Ceux qui veulent mourir en martyre, prêts à partir
Terre de convoitise, lieu saint, posez les armes,
Dire Inchallahim, bonjour, shalom et salam
J' suis pas l'avocat des pauvres mais ça m' fait mal
Et tu sais si j'en parle, c'est parce que personne le fait
Re-fré, vire tes oeillères, y'en à assez,
Le dire m'a soulagé même si j' peux rien y changer
Si à tes yeux on prend position, comprends-le bien,
Qu'on parle pas qu’en tant que musulmans,
Rien qu'en tant qu'être humain

Jeteur de pierre, le monde sait qu' ton pays est en guerre
Pas d'aide humanitaire, vu qu' les colons te volent tes terres
Et c'est triste, toujours la même morale,
Les mêmes balles, le même mal, la même spirale


Sniper

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martes, diciembre 13, 2005

Cold

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En hiver, il fait froid. En été... aussi. La nuit. Toujours la nuit. Même au soleil c'est la nuit.

La porte fermée pour ne pas laisser entrer le froid. Le coeur fermé aussi. Tout est si hermetiquement fermé que... bon, on cache tout. Je ne vois rien, je ne montre rien. Toi je te connais, mais dans le fond je ne te connais plus. Tout change parce que la Terre tourne et les étoiles dansent. Mais est-ce qu'on s'amuse? Je sais pas... Quand j'oublie, je m'amuse. Mais je n'oublie pas souvent. C'est le grand problème. On essaie de s'engourdir pour ne plus rien sentir, mais on sent toujours et ça nous fait chier. Je ne sens rien, moi, mais je m'engourdis pareil. Comme ça je sens encore moins, donc un léger bonheur se fait voir. Mais il se cache toujours.

Ils se cachent aussi, je pense. Ce que je veux dire que je ne connais pas beaucoup de VRAIS. Une bulle, une autre et une encore une autre. Bien vivre ne veut pas dire vivre dans le luxe. Pourquoi est-ce qu'on fait comme si on était si meilleurs que les autres? Même moi, je suis comme ça: MA PHILOSOPHIE PIS FUCK LE RESTE! ...écoute... Écoute-la. Écoute-le. Essaie de comprendre. Argumente, mais essaie de comprendre.

Tu as vécu tellement plus que moi, pourquoi n'as-tu rien à m'enseigner? Pourquoi est-ce que c'est moi qui t'explique ce que c'est l'Anarchie? Pourquoi est-ce que vous êtes si "bourgeois" comme dirait l'autre? J'ai une conversation bien plus intéressante avec un sans-abri qu'avec des gens avec des diplômes d'université! Voilà ce qui me prouve que ton papier ne vaut rien. LE MIEN NON PLUS NE VAUT RIEN. Pas pour moi en tout cas. Pour lui à côté, c'est ce qui me définit en tant qu'être humain! Voyons! On dirait que je suis une frustrée de la vie, non? Mais OUI! Et je le sais ça, mais je ne compte pas finir par me conformer avec ce que ces connards ont à m'offrir. Et le pire c'est que je t'aide à t'enrichir fils de pute! JE T'AIDE À DÉTRUIRE!

Je délire souvent, mais je n'ai personne avec qui délirer. Tout le monde est confortable, tout le monde est bien. Alors, pourquoi est-ce que je m'entête à le sauver ce monde s'il est si bien? Parce qu'il ne l'est pas en réalité! Vous faitez tous semblant! VOUS ÊTES TOUS MALADES!!! Et ceux qui ne le sont pas, meurent de faim parce que vous mangez LEUR BOUFFE! Vous NOURRISSEZ VOS MALADIES, vous les aidez à survivre, vous les aidez à vous tuer. Et vous tuez les autres. Moi aussi je suis une malade. Et moi je nourris mes maladies et elles me tuent... tranquilement. Et je ne veux plus les nourrir mais je continue parce que c'est trop difficle aller contre le courant. Je pourrais les frapper tous, mais ils me tueraient tout ensemble.

Et je continue mes folies. Je continue à me plaindre dans ma tête, à m'envénimer l'esprit. Je commencerais un jour à devenir PARASITE si les choses ne changent pas. Et je ne sais même pas si elles changeront pendant que je respire encore.

Vous, vous pouvez continuer à tuer tout. De toute façon c'est toujours la faute de l'autre.

En invierno, hace frio. En verano... tambien. La noche. Siempre de noche. Incluso al sol es de noche.

La puerta cerrada para que no entre el frio. El corazón cerrado tambien. Todo está tan cerrado hermeticamente que... bueno, escondemos todo. No veo nada, no muestro nada. Yo a ti te conosco, pero ya no te conosco. Todo cambia porqu e la Tierra gira y las estrellas bailan. Pero, ¿Nos divertimos? No sé... Cuando olvido, me divierto. Pero no olvido muy seguido. Ese es el gran problema. Tratamos de entorpecernos para no sentir mas, pero seguimos sintiendo y eso es lo que nos revienta. Yo, no siento nada, pero me entorpiezo igual. Asi, siento aun menos, y es cuando veo una infima felicidad. Y siempre se esconde.

Creo que ellos tambien se esconden. Lo que quiero decir es que no conosco a muchas personas de VERDAD. Una burbuja, otra y otra. Vivir bien no quiere decir vivir en el lujo. ¿Por qué fingimos ser mejores que otros? Hasta yo soy asi: MI FILOSOFIA Y A LA MIERDA EL RESTO! ...escucha... Escuchala. Escuchalo. Trata de entender. Argumenta, pero trata de entender.

As vivido mucho mas que yo, ¿por qué no tienes nada que enseñarme? ¿Por qué soy yo la que te explica lo que la anarquia? ¿Por qué son ustedes tan "burgueses" como diria el otro? Suelo tener conversaciones mucho mas interesantes con mendigos que con diplomados de universidad! Y esa es lo que me prueba a mi que tu papel no vale nada. EL MIO TAMPOCO VALE NADA. No para mi en todo caso. Para este de al lado, es lo que me define como ser humano! Uno pensaria que soy una amargada, ¿no? SI! Y lo sé, pero es que no cuento con terminar conformandome con lo que esto huevones me quieren ofrecer. Y lo peor es que te ayudo a enriqueserte hijo de puta! TE AYUDO A DESTRUIR!

Deliro a menudo, pero no tengo con quien delirar. Todo el mundo está comodo, todo el mundo está bien. Entonces, ¿por qué me obstino con salvar al mundo si está tan bien? Porque no lo está! Están fingiendo! ESTÁN TODOS ENFERMOS!!! Y los que no lo están, mueren de hambre porque ustedes se comen SU COMIDA! ALIMENTAN SUS ENFERMEDADES, les ayudan a sobrevivir, les ayudan a matarlos a ustedes mismos. Y yo también estoy enferma. Y alimento mis enfermedades y me matan... tranquilamente. Y quiero seguir pero sigo igual porque es demasiado dificil avanzar contra la corriente. Les podria pegar a todos, pero me matarian juntos.

Y sigo con mis locuras. Sigo quejandome en silencio, envenenandome la mente. Un dia empezaré à ser un PARASITO si las cosas no cambian. Y nisiquiera sé si van a cambiar mientras yo aun respire.

Ustedes, pueden seguir matando todo. De todos modos el otro siempre tiene la culpa.

sábado, diciembre 10, 2005

Papa?

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L'odeur de sapin.
La neige brune.
La tuque au-dessus des oreilles.
Bottes pointues pour hommes.
Les gros gants.
Les gros flocons de neige.
Les yeux bleus.
La cigarrette du matin.
Le map-o-spread avec des bananes.
Pelleter.

J'aurais envie de m'accrocher à ton cou et te tirer pour te faire plier.
J'aurais envie que de me coucher si tard que tu lèves quand j'éteins la télé.
J'aurais envie d'aller marcher quand il neige avec toi.
D'aller choisir ton arbre de Noël.
D'installer les lumières dehors, même si j'en ai pas envie.
J'ai envie de rire de toi.
De te conter comment ça se passe à l'école ou au travail.
Même que tu m'accuses d'avoir fait quelque chose que je n'ai pas fait.

L'hiver, me fait penser à toi. C'est tout. Comme ça.

lunes, diciembre 05, 2005

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jueves, diciembre 01, 2005

Dificil esta wea

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Vengo llegando de donde un amigo. Un carrete rarisimo. Harto alcool, harta droga, hartos cigarros... lo teniamos todo. Y sin embargo no tomé ni fumé ni nada. Arrendaron dvds de programas de tele que ellos miraban cuando eran chicos... q weá??? Hasta los Picapiedras tienen nombres diferentes... no sé. Con tanta gente me siento sola. Y pienso en cuando estaré en Chile. Y no tengo nada que hacer allá... solo interrumpir un poco las vidas de mi familia. Adoro a mi familia. Me da pena no poder verlos cuando quiero. Me da pena que mi sobrino tenga ya cinco meses y que no lo conosca. Me da pena no haber aprovechado al maximo mi ultimo viaje... de haber llevado a alguien a quien deberia odiar ya que el me odia ahora. Me da pena haber olvidado mi idioma, un poco. Me da pena que todo sea tan dificil. Me da pena que nadie haya vivido lo mismo que yo... que nadie me entienda. Me da rabia que mi mejor amiga sea una weona paranoica... Me da rabia.

Tengo rabia y tengo pena. Quisiera cambiar al mundo y no puedo. Me siento sola y nadie me podrá ayudar con su presencia. Y me la paso escuchando a Portishead y a Radiohead y a Fidel de Los Petinellis. Y lloro.

Es dificil esta weá... me quiero ir pero todavia no me animo... y no puedo dormir!!!


04 How To Disappear Completely.m4a
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(bajense How to disapear completly de Radiohead que no sé por qué pero no la puedo poner entera aqui)

J'arrive de chez un ami. Un party bizarre. Beacoup d'alcool, beaucoup de drogue, beaucoup de cigarrettes... on l'avait tout. Malgré tout je n'ai pas bu, je n'ai pas fumé, je n'ai rien fait. Ils ont loué des dvds d'émissions de télé qu'ils écoutaient quand ils étaient petits... bizarre! Même les Pierrafeu ont des noms différents.... je ne sais pas. Avec plein de gens comme ça je me sens seule. Et je pense à quand je serais au Chili. Et je n'ai rien à faire là-bàs... seulement interrompre un peu les vies de ma famille. J'adore ma famille. Ça me fait de la peine de ne pas pouvoir les voir quand je veux. Ça me fait de la peine que mon neveu ait déjà cinq mois et que je ne le conaisse pas encore. Ça me fait de la peine de ne pas avoir profité au maximum mon dernier voyage... d'avoir amené quelqu'un que je devrais detester étant donné qu'il me deteste moi. Ça me fait de la peine d'avoir oublié ma langue maternelle, un peu. Ça me fait de la peine que tout soit si difficile. Ça me fait de la peine que personne n'ait vecu les mêmes choses que moi... que personne me comprenne. Ça me fache que ma meilleure amie soit une parano... (pour des raison que j'ai censuré parce que c'est vrai que je n'aurais pas du). Ça me fache.

Je suis fachée et triste. J'aimerais changer le monde mais je ne peux pas. Je me sens seule et personne pourra m'aider avec sa presence. Et je passe mon temps à écouter Portishead et Radiohead et Fidel de Los Petinellis. Et je pleure.

C'est dificil... je veux m'en aller mais je n'ai pas encore le courage... et je ne peux pas dormir!!!